La
 progression du diabète et de l’obésité menace les progrès enregistrés 
depuis 50 ans dans les pays membres de l’Organisation de coopération et 
de développement économiques (OCDE) en termes de lutte contre les 
maladies cardiovasculaires, prévient l’Organisation dans un nouveau rapport
 intitulé « Cardiovascular disease and diabetes : policies for better 
health and quality of care » (Maladies cardiovasculaires et diabète : 
des politiques pour une meilleure santé et qualité des soins).
Cependant, « il existe quelques signes inquiétants, notent les auteurs du rapport. Alors que le surpoids l’obésité ont tendance à stagner ou à diminuer dans certains pays », la France fait partie des pays où ces paramètres augmentent. L’organisation enregistre une prévalence de 29,9 % de personnes en surpoids et de 12,9 % de personnes obèses (ce qui est toujours inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 34,6 % et 18 %, respectivement) et cite une étude selon laquelle un quart des diabétiques français s’ignorent.
Les auteurs encouragent donc les efforts pour tenter de renverser cette tendance, et saluent notamment l’initiative française de la taxe soda.
Enfin, la France peut également faire mieux en termes de soins primaires pour les maladies cardiovasculaires et le diabète, « ce qui permettrait de diminuer les hospitalisations pour des problèmes liés au diabète et à l’insuffisance cardiaque ». Ces taux d’hospitalisations sont effectivement supérieurs aux moyennes de l’OCDE, rapporte l’organisation.
- See more at: http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2015/06/17/rapport-de-locde-sur-lobesite-et-le-diabete-la-france-pas-si-mal-lotie-mais-peut-mieux-faire_761031#sthash.GDMfx7DO.dpuf
Disparités territoriales
Selon l’instance, en un demi-siècle, les progrès en matières de prévention et de traitement cardiovasculaires ont permis de faire diminuer de 60 % la mortalité dans les pays membres. Mais les maladies cardiovasculaires restent la principale cause de décès dans ces pays et les niveaux croissants d’obésité et de diabète, en particulier chez les jeunes, vont à nouveau faire augmenter la mortalité. En moyenne, 1 adulte sur 5 est obèse dans l’ensemble des pays de l’OCDE, et 7 % (85 millions) des adultes sont diabétiques, rappelle l’organisation, qui prévoit que le taux de diabétiques devrait gripper de 27 %, pour atteindre 108 millions d’ici 2030.30 % de Français en surpoids
L’organisation fournit également des chiffres et recommandations pour différents pays membres. La France est plutôt mieux lotie par rapport aux autres états, avec une mortalité due aux maladies cardiovasculaires de 185 pour 100 000 personnes en 2009, ce qui est nettement inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 299 pour 100 000 personnes en 2011. La prévalence du diabète en France (5,6 %) est également inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE.Cependant, « il existe quelques signes inquiétants, notent les auteurs du rapport. Alors que le surpoids l’obésité ont tendance à stagner ou à diminuer dans certains pays », la France fait partie des pays où ces paramètres augmentent. L’organisation enregistre une prévalence de 29,9 % de personnes en surpoids et de 12,9 % de personnes obèses (ce qui est toujours inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 34,6 % et 18 %, respectivement) et cite une étude selon laquelle un quart des diabétiques français s’ignorent.
Les auteurs encouragent donc les efforts pour tenter de renverser cette tendance, et saluent notamment l’initiative française de la taxe soda.
Les Français restent de gros fumeurs
La France fait également partie des pays où le tabagisme dépasse la moyenne de l’OCDE. Dans l’Hexagone, 25,6 % des jeunes fument, 23,3 % des adultes, contre une moyenne de 19,5 % pour les jeunes et 20,9 % pour les adultes de l’OCDE. Les auteurs recommandent à la France de « tirer des leçons » de pays comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Irlande, la Grande-Bretagne et la Turquie, qui ont réussi à diminuer la prévalence nationale du tabagisme grâce à des politiques « exhaustives ».Enfin, la France peut également faire mieux en termes de soins primaires pour les maladies cardiovasculaires et le diabète, « ce qui permettrait de diminuer les hospitalisations pour des problèmes liés au diabète et à l’insuffisance cardiaque ». Ces taux d’hospitalisations sont effectivement supérieurs aux moyennes de l’OCDE, rapporte l’organisation.
- See more at: http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2015/06/17/rapport-de-locde-sur-lobesite-et-le-diabete-la-france-pas-si-mal-lotie-mais-peut-mieux-faire_761031#sthash.GDMfx7DO.dpuf
C'est une révolution qui pourrait changer la vie quotidienne de nombreux diabétiques. Des chercheurs ont testé avec succès sur des souris un patch intelligent capable de détecter une augmentation du sucre dans le sang et d'injecter de l'insuline sans aucune douleur. Une invention prometteuse pour les millions de diabétiques dans le monde.
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Ce timbre transdermique de la taille d'une pièce d'un centime est 
recouvert d'une centaine de micro-aiguilles ayant chacune la taille d'un
 cil. Ces «micro-aiguilles» sont dotées de réservoirs microscopiques 
contenant des enzymes sensibles au glucose ainsi que de l'insuline, qui 
est diffusée si les niveaux de sucre détectés dans le sang sont trop 
élevés, expliquent les auteurs de cette invention, qui fait l'objet 
d'une publication lundi dans les Compte rendus de l'Académie américaine 
des sciences (PNAS).
Ce timbre a pu abaisser pendant neuf heures le taux de glycémie chez des
 souris de laboratoire atteintes d'une forme équivalente de diabète 1 ou
 juvénile. Davantage de tests et des essais cliniques sont nécessaires 
avant que ce timbre puisse être utilisé chez des malades mais cette 
avancée est très prometteuse, jugent ses inventeurs.
«Nous avons conçu un timbre pour les diabétiques qui fonctionne 
rapidement, qui est simple à utiliser et qui est fabriqué avec des 
matériaux non-toxiques et biocompatibles», explique Zhen Gu, professeur 
au département d'ingénierie biomédicale de l'Université d'Etat de 
Caroline du nord (UNC/NC State University), principal auteur de ces 
travaux.
Un système personnalisable
 
«Ce système peut être personnalisé pour prendre en compte le poids du 
malade et sa sensibilité à l'insuline», précise-t-il. Les malades 
souffrant de diabète de type 1 et ceux atteints d'une forme avancée de 
diabète adulte ou type 2 s'efforcent de maintenir des niveaux de 
glycémie sous contrôle avec des injections répétées d'insuline sous la 
peau, une procédure parfois douloureuse et imprécise.
«Injecter des doses inappropriées d'insuline peut provoquer des 
complications graves pouvant entraîner la cécité, des amputations de 
membres voire un coma diabétique ou la mort»,
 relève le Dr John Buse, directeur du centre de traitement du diabète de
 l'Université de Caroline du Nord, co-auteur de cette recherche.
Des chercheurs se sont efforcés d'éliminer ces risques d'erreur en 
créant «un système en circuit fermé» qui relie directement le mécanisme 
qui traque les niveaux de sucre sanguin et la pompe pour administrer 
l'insuline. Mais ce système comprend des capteurs et des pompes 
mécaniques avec des cathéters qui sont fixés sous la peau et doivent 
être remplacés après quelques jours.
Le concept du patch simule les générateurs naturels d'insuline de 
l'organisme, les cellules bêta du pancréas. Ces cellules agissent à la 
fois comme des usines et des entrepôts d'insuline. Elles servent aussi 
d'alarme quand le niveau du sucre dans le sang augmente excessivement et
 déclenchent alors la diffusion d'insuline.
Le diabète, le plus souvent adulte, affecte plus de 387 millions de 
personnes dans le monde, un nombre qui devrait augmenter fortement pour 
atteindre 592 millions d'ici 2035 et ce en raison de l'accroissement de 
la population en surpoids ou souffrant d'obésité. 
La
 progression du diabète et de l’obésité menace les progrès enregistrés 
depuis 50 ans dans les pays membres de l’Organisation de coopération et 
de développement économiques (OCDE) en termes de lutte contre les 
maladies cardiovasculaires, prévient l’Organisation dans un nouveau rapport
 intitulé « Cardiovascular disease and diabetes : policies for better 
health and quality of care » (Maladies cardiovasculaires et diabète : 
des politiques pour une meilleure santé et qualité des soins).
Cependant, « il existe quelques signes inquiétants, notent les auteurs du rapport. Alors que le surpoids l’obésité ont tendance à stagner ou à diminuer dans certains pays », la France fait partie des pays où ces paramètres augmentent. L’organisation enregistre une prévalence de 29,9 % de personnes en surpoids et de 12,9 % de personnes obèses (ce qui est toujours inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 34,6 % et 18 %, respectivement) et cite une étude selon laquelle un quart des diabétiques français s’ignorent.
Les auteurs encouragent donc les efforts pour tenter de renverser cette tendance, et saluent notamment l’initiative française de la taxe soda.
Enfin, la France peut également faire mieux en termes de soins primaires pour les maladies cardiovasculaires et le diabète, « ce qui permettrait de diminuer les hospitalisations pour des problèmes liés au diabète et à l’insuffisance cardiaque ». Ces taux d’hospitalisations sont effectivement supérieurs aux moyennes de l’OCDE, rapporte l’organisation.
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Disparités territoriales
Selon l’instance, en un demi-siècle, les progrès en matières de prévention et de traitement cardiovasculaires ont permis de faire diminuer de 60 % la mortalité dans les pays membres. Mais les maladies cardiovasculaires restent la principale cause de décès dans ces pays et les niveaux croissants d’obésité et de diabète, en particulier chez les jeunes, vont à nouveau faire augmenter la mortalité. En moyenne, 1 adulte sur 5 est obèse dans l’ensemble des pays de l’OCDE, et 7 % (85 millions) des adultes sont diabétiques, rappelle l’organisation, qui prévoit que le taux de diabétiques devrait gripper de 27 %, pour atteindre 108 millions d’ici 2030.30 % de Français en surpoids
L’organisation fournit également des chiffres et recommandations pour différents pays membres. La France est plutôt mieux lotie par rapport aux autres états, avec une mortalité due aux maladies cardiovasculaires de 185 pour 100 000 personnes en 2009, ce qui est nettement inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 299 pour 100 000 personnes en 2011. La prévalence du diabète en France (5,6 %) est également inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE.Cependant, « il existe quelques signes inquiétants, notent les auteurs du rapport. Alors que le surpoids l’obésité ont tendance à stagner ou à diminuer dans certains pays », la France fait partie des pays où ces paramètres augmentent. L’organisation enregistre une prévalence de 29,9 % de personnes en surpoids et de 12,9 % de personnes obèses (ce qui est toujours inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 34,6 % et 18 %, respectivement) et cite une étude selon laquelle un quart des diabétiques français s’ignorent.
Les auteurs encouragent donc les efforts pour tenter de renverser cette tendance, et saluent notamment l’initiative française de la taxe soda.
Les Français restent de gros fumeurs
La France fait également partie des pays où le tabagisme dépasse la moyenne de l’OCDE. Dans l’Hexagone, 25,6 % des jeunes fument, 23,3 % des adultes, contre une moyenne de 19,5 % pour les jeunes et 20,9 % pour les adultes de l’OCDE. Les auteurs recommandent à la France de « tirer des leçons » de pays comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Irlande, la Grande-Bretagne et la Turquie, qui ont réussi à diminuer la prévalence nationale du tabagisme grâce à des politiques « exhaustives ».Enfin, la France peut également faire mieux en termes de soins primaires pour les maladies cardiovasculaires et le diabète, « ce qui permettrait de diminuer les hospitalisations pour des problèmes liés au diabète et à l’insuffisance cardiaque ». Ces taux d’hospitalisations sont effectivement supérieurs aux moyennes de l’OCDE, rapporte l’organisation.
- See more at: http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2015/06/17/rapport-de-locde-sur-lobesite-et-le-diabete-la-france-pas-si-mal-lotie-mais-peut-mieux-faire_761031#sthash.GDMfx7DO.dpuf
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 progression du diabète et de l’obésité menace les progrès enregistrés 
depuis 50 ans dans les pays membres de l’Organisation de coopération et 
de développement économiques (OCDE) en termes de lutte contre les 
maladies cardiovasculaires, prévient l’Organisation dans un nouveau rapport
 intitulé « Cardiovascular disease and diabetes : policies for better 
health and quality of care » (Maladies cardiovasculaires et diabète : 
des politiques pour une meilleure santé et qualité des soins). - See 
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La
 progression du diabète et de l’obésité menace les progrès enregistrés 
depuis 50 ans dans les pays membres de l’Organisation de coopération et 
de développement économiques (OCDE) en termes de lutte contre les 
maladies cardiovasculaires, prévient l’Organisation dans un nouveau rapport
 intitulé « Cardiovascular disease and diabetes : policies for better 
health and quality of care » (Maladies cardiovasculaires et diabète : 
des politiques pour une meilleure santé et qualité des soins). - See 
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La
 progression du diabète et de l’obésité menace les progrès enregistrés 
depuis 50 ans dans les pays membres de l’Organisation de coopération et 
de développement économiques (OCDE) en termes de lutte contre les 
maladies cardiovasculaires, prévient l’Organisation dans un nouveau rapport
 intitulé « Cardiovascular disease and diabetes : policies for better 
health and quality of care » (Maladies cardiovasculaires et diabète : 
des politiques pour une meilleure santé et qualité des soins).
Cependant, « il existe quelques signes inquiétants, notent les auteurs du rapport. Alors que le surpoids l’obésité ont tendance à stagner ou à diminuer dans certains pays », la France fait partie des pays où ces paramètres augmentent. L’organisation enregistre une prévalence de 29,9 % de personnes en surpoids et de 12,9 % de personnes obèses (ce qui est toujours inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 34,6 % et 18 %, respectivement) et cite une étude selon laquelle un quart des diabétiques français s’ignorent.
Les auteurs encouragent donc les efforts pour tenter de renverser cette tendance, et saluent notamment l’initiative française de la taxe soda.
Enfin, la France peut également faire mieux en termes de soins primaires pour les maladies cardiovasculaires et le diabète, « ce qui permettrait de diminuer les hospitalisations pour des problèmes liés au diabète et à l’insuffisance cardiaque ». Ces taux d’hospitalisations sont effectivement supérieurs aux moyennes de l’OCDE, rapporte l’organisation.
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Disparités territoriales
Selon l’instance, en un demi-siècle, les progrès en matières de prévention et de traitement cardiovasculaires ont permis de faire diminuer de 60 % la mortalité dans les pays membres. Mais les maladies cardiovasculaires restent la principale cause de décès dans ces pays et les niveaux croissants d’obésité et de diabète, en particulier chez les jeunes, vont à nouveau faire augmenter la mortalité. En moyenne, 1 adulte sur 5 est obèse dans l’ensemble des pays de l’OCDE, et 7 % (85 millions) des adultes sont diabétiques, rappelle l’organisation, qui prévoit que le taux de diabétiques devrait gripper de 27 %, pour atteindre 108 millions d’ici 2030.30 % de Français en surpoids
L’organisation fournit également des chiffres et recommandations pour différents pays membres. La France est plutôt mieux lotie par rapport aux autres états, avec une mortalité due aux maladies cardiovasculaires de 185 pour 100 000 personnes en 2009, ce qui est nettement inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 299 pour 100 000 personnes en 2011. La prévalence du diabète en France (5,6 %) est également inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE.Cependant, « il existe quelques signes inquiétants, notent les auteurs du rapport. Alors que le surpoids l’obésité ont tendance à stagner ou à diminuer dans certains pays », la France fait partie des pays où ces paramètres augmentent. L’organisation enregistre une prévalence de 29,9 % de personnes en surpoids et de 12,9 % de personnes obèses (ce qui est toujours inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 34,6 % et 18 %, respectivement) et cite une étude selon laquelle un quart des diabétiques français s’ignorent.
Les auteurs encouragent donc les efforts pour tenter de renverser cette tendance, et saluent notamment l’initiative française de la taxe soda.
Les Français restent de gros fumeurs
La France fait également partie des pays où le tabagisme dépasse la moyenne de l’OCDE. Dans l’Hexagone, 25,6 % des jeunes fument, 23,3 % des adultes, contre une moyenne de 19,5 % pour les jeunes et 20,9 % pour les adultes de l’OCDE. Les auteurs recommandent à la France de « tirer des leçons » de pays comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Irlande, la Grande-Bretagne et la Turquie, qui ont réussi à diminuer la prévalence nationale du tabagisme grâce à des politiques « exhaustives ».Enfin, la France peut également faire mieux en termes de soins primaires pour les maladies cardiovasculaires et le diabète, « ce qui permettrait de diminuer les hospitalisations pour des problèmes liés au diabète et à l’insuffisance cardiaque ». Ces taux d’hospitalisations sont effectivement supérieurs aux moyennes de l’OCDE, rapporte l’organisation.
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La
 progression du diabète et de l’obésité menace les progrès enregistrés 
depuis 50 ans dans les pays membres de l’Organisation de coopération et 
de développement économiques (OCDE) en termes de lutte contre les 
maladies cardiovasculaires, prévient l’Organisation dans un nouveau rapport
 intitulé « Cardiovascular disease and diabetes : policies for better 
health and quality of care » (Maladies cardiovasculaires et diabète : 
des politiques pour une meilleure santé et qualité des soins).
Cependant, « il existe quelques signes inquiétants, notent les auteurs du rapport. Alors que le surpoids l’obésité ont tendance à stagner ou à diminuer dans certains pays », la France fait partie des pays où ces paramètres augmentent. L’organisation enregistre une prévalence de 29,9 % de personnes en surpoids et de 12,9 % de personnes obèses (ce qui est toujours inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 34,6 % et 18 %, respectivement) et cite une étude selon laquelle un quart des diabétiques français s’ignorent.
Les auteurs encouragent donc les efforts pour tenter de renverser cette tendance, et saluent notamment l’initiative française de la taxe soda.
Enfin, la France peut également faire mieux en termes de soins primaires pour les maladies cardiovasculaires et le diabète, « ce qui permettrait de diminuer les hospitalisations pour des problèmes liés au diabète et à l’insuffisance cardiaque ». Ces taux d’hospitalisations sont effectivement supérieurs aux moyennes de l’OCDE, rapporte l’organisation.
- See more at: http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2015/06/17/rapport-de-locde-sur-lobesite-et-le-diabete-la-france-pas-si-mal-lotie-mais-peut-mieux-faire_761031#sthash.GDMfx7DO.dpuf
Disparités territoriales
Selon l’instance, en un demi-siècle, les progrès en matières de prévention et de traitement cardiovasculaires ont permis de faire diminuer de 60 % la mortalité dans les pays membres. Mais les maladies cardiovasculaires restent la principale cause de décès dans ces pays et les niveaux croissants d’obésité et de diabète, en particulier chez les jeunes, vont à nouveau faire augmenter la mortalité. En moyenne, 1 adulte sur 5 est obèse dans l’ensemble des pays de l’OCDE, et 7 % (85 millions) des adultes sont diabétiques, rappelle l’organisation, qui prévoit que le taux de diabétiques devrait gripper de 27 %, pour atteindre 108 millions d’ici 2030.30 % de Français en surpoids
L’organisation fournit également des chiffres et recommandations pour différents pays membres. La France est plutôt mieux lotie par rapport aux autres états, avec une mortalité due aux maladies cardiovasculaires de 185 pour 100 000 personnes en 2009, ce qui est nettement inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 299 pour 100 000 personnes en 2011. La prévalence du diabète en France (5,6 %) est également inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE.Cependant, « il existe quelques signes inquiétants, notent les auteurs du rapport. Alors que le surpoids l’obésité ont tendance à stagner ou à diminuer dans certains pays », la France fait partie des pays où ces paramètres augmentent. L’organisation enregistre une prévalence de 29,9 % de personnes en surpoids et de 12,9 % de personnes obèses (ce qui est toujours inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE, de 34,6 % et 18 %, respectivement) et cite une étude selon laquelle un quart des diabétiques français s’ignorent.
Les auteurs encouragent donc les efforts pour tenter de renverser cette tendance, et saluent notamment l’initiative française de la taxe soda.
Les Français restent de gros fumeurs
La France fait également partie des pays où le tabagisme dépasse la moyenne de l’OCDE. Dans l’Hexagone, 25,6 % des jeunes fument, 23,3 % des adultes, contre une moyenne de 19,5 % pour les jeunes et 20,9 % pour les adultes de l’OCDE. Les auteurs recommandent à la France de « tirer des leçons » de pays comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Irlande, la Grande-Bretagne et la Turquie, qui ont réussi à diminuer la prévalence nationale du tabagisme grâce à des politiques « exhaustives ».Enfin, la France peut également faire mieux en termes de soins primaires pour les maladies cardiovasculaires et le diabète, « ce qui permettrait de diminuer les hospitalisations pour des problèmes liés au diabète et à l’insuffisance cardiaque ». Ces taux d’hospitalisations sont effectivement supérieurs aux moyennes de l’OCDE, rapporte l’organisation.
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