martes, 29 de noviembre de 2016

Des chercheurs de l'UCL découvrent une protéine capable de prévenir le diabète et l'obésité


 

Deux nouveaux pas ont été franchis dans la lutte contre l'obésité et le diabète de type 2, par le Pr Patrice Cani, chercheur Welbio au Louvain Drug Research Institute et son équipe, dont Hubert Plovier, aspirant FNRS. Leurs travaux viennent d'être publiés dans la prestigieuse revue scientifique Nature Medicine.
Via deux traitements distincts basés sur une bactérie appelée Akkermansia muciniphila, ils sont parvenus à stopper, chez la souris, le développement de ces deux maladies très répandues. Reste à présent à confirmer ces résultats chez l'homme pour pouvoir alors envisager le développement d'un nouveau médicament, qui pourrait être mis sur le marché dans plusieurs années. Et s'avérer utile non seulement pour les patients diabétiques de type 2 et obèses, mais aussi contre les maladies cardiovasculaires.
Explications de cette double première mondiale avec le Pr Patrice Cani.
Qui est Akkermansia ?
Il s'agit d'une bactérie qui a été isolée pour la première fois de l'intestin de l'homme en 2004, par le Pr Willem de Vos de l'Université de Wageningen, aux Pays-Bas. Elle vit dans l'intestin de chacun d'entre nous au niveau de la couche de mucus, qui sépare les bactéries des cellules de l'intestin. On peut en quelque sorte considérer Akkermansia comme un gardien de la barrière intestinale. Dans la littérature scientifique et d'après les résultats que nous avons obtenus ces dernières années en laboratoire, on sait que cette bactérie est moins présente dans les intestins en cas d'obésité et de diabète de type 2; cela est avéré à la fois chez la souris et chez l'homme. Par ailleurs, en 2013, notre équipe de l'UCL a publié une étude montrant qu'administrer la bactérie vivante, dans le modèle murin, permet de diminuer le gain de poids corporel ainsi que le diabète. Notre but était alors évidemment de tester cette bactérie chez l'homme.

Ce que vous avez fait et qu'avez-vous pu mettre en évidence?
Il a fallu chercher un milieu de culture dans lequel faire pousser la bactérie, qui soit théoriquement compatible avec l'ingestion chez l'homme. Car au départ, cette bactérie ne poussait que sur du mucus de porc... Nous avons découvert un milieu de culture qui permettait de faire ce passage de l'animal à l'homme. En pasteurisant la bactérie, c'est-à-dire en la chauffant à 70° dans le but de la rendre plus stable (car elle est sensible à l'oxygène), l'utiliser plus longtemps et plus facilement, nous nous sommes rendu compte que cette pasteurisation décuplait son activité. Elle s'est avérée en effet deux fois plus efficace en termes de diminution du gain de poids corporel et du diabète de type 2.

Cette découverte fut une surprise?
En effet, on ne s'attendait pas au départ à ce que la pasteurisation potentialise l'activité de la bactérie et la rende beaucoup plus efficace. Elle permet non seulement de corriger la maladie mais aussi de la prévenir, une première mondiale! En tant que chercheurs, nous nous sommes donc amusés à essayer de comprendre pourquoi cette pasteurisation permettait d'activer davantage l'efficacité d'Akkermansia. Pourquoi celle-ci se comporte différemment lorsqu'elle est vivante ou pasteurisée.



Et c'est alors que vous avez fait une deuxième découverte?
Effectivement, nous avons observé que sur la membrane externe ou le pourtour de la bactérie se trouvait une protéine fortement présente, nous pensons qu’elle communiquerait avec notre organisme. Cette protéine reste également active (vivante) après avoir été chauffée à 70°. La pasteurisation élimine donc ce qui n'est pas nécessaire au sein d'Akkermansia et préserve la protéine, ce qui explique son efficacité démultipliée. Nous avons alors testé la protéine, qui a été isolée et produite par génie génétique pour l'administrer à des souris. Et notre équipe a pu observer qu'elle permet de reproduire les effets identiques à ceux de la bactérie Akkermansia pasteurisée. En d'autres mots, en ne prenant qu'un des constituants de la bactérie, on arrive à reproduire tous ses effets bénéfiques, comme le fait de stopper le développement de l'obésité et le diabète de type 2.

Cela constitue un réel espoir de nouvelle thérapie pour de nombreux patients?
Oui, nous allons effectivement essayer de développer cette potentielle protéine comme un futur médicament. Akkermansia est, rappelons-le, présente au niveau de la couche de mucus où elle est vraiment considérée comme un gardien de la barrière intestinale. Or on sait que la porosité de l'intestin se retrouve typiquement chez les sujets obèses, diabétiques de type 2, ou encore en présence d'un cancer, d'inflammation, d'anxiété ou de consommation d'alcool. La perméabilité intestinale est responsable du passage de certaines toxines bactériennes dans le sang, qui contribuent au développement du diabète, de l'inflammation, au fait que certains sujets obèses ont toujours faim… Bref, à toute une série de mécanismes associés à cette barrière. Que ce soit Akkermansia pasteurisée, vivante ou la protéine, on arrive à bloquer le passage des toxines dans le sang et à renforcer ainsi les défenses immunitaires de l'intestin, chez la souris. Cette protéine (Amuc 1100) donne donc un espoir thérapeutique pour d'autres maladies, au cours desquelles la barrière intestinale est abîmée, telles que l'inflammation de l'intestin, en cas de stress, d'alcoolisme, de maladies du foie ou encore de cancer.

Il reste néanmoins à confirmer ces résultats chez l'homme…
De fait, depuis décembre 2015, des tests cliniques sont menés chez l'homme aux Cliniques universitaires Saint-Luc, dans une cohorte de personnes présentant des facteurs de risques cardiovasculaires (surpoids, obésité, trop de cholestérol ou encore un diabète de type 2). Ils viennent de franchir la première étape, celle de la sécurité qui a montré que la bactérie ne semble pas induire d'effets secondaires. Qu'elle soit pasteurisée ou vivante, elle peut être administrée sans danger pendant plusieurs jours (de 15 jours à trois mois de traitement, en l'occurrence pour les essais cliniques). Quant à l'efficacité, que ce soit au niveau du diabète, de l'obésité, de l'hypercholestérolémie…, on ne peut pas encore se prononcer à l'heure actuelle, l'étude en cours étant réalisée en aveugle. Les résultats de l'étude qui vise à explorer les différentes pistes sont attendus pour fin 2017.

En terme d'échéances et d'espoirs, qu'est-ce que cela signifie pour les patients?
On ne s'attend bien sûr pas d'emblée à traiter le diabète ou l'obésité. Mais si l'on a déjà des paramètres améliorés sur le taux de sucre dans le sang et le taux de cholestérol, ce serait déjà bingo en soi! Et s'il y a plus, tant mieux. En termes de traitement à proprement parler, si l'on devait avoir des effets positifs chez l'homme (ce que l'on ne saura que fin de l'année prochaine), le développement d'un produit à base d’Akkermansia, que ce soit un accompagnement préventif ou un traitement thérapeutique, prendra encore quelques années.

Source :lalibre.be

jueves, 24 de noviembre de 2016

Chocolat : cette délicieuse sucrerie pourrait mettre K.-O. le diabète


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Si vous êtes diabétique, on vous a déjà dit à de nombreuses reprises que les petites douceurs sucrées à la fin du repas étaient pour vous de l’histoire ancienne.
Fini pour vous les vrais desserts… Il ne vous restait plus que les desserts « spéciaux » sans sucre mais bourrés de colorants ou d’édulcorants chimiques…
Qui voudrait vraiment de ce type de dessert ?
Mais il s’avère que vous avez une possibilité bien plus appétissante que les horribles gelées ou autres friandises sans sucre !
Les chercheurs ont découvert qu’il existe une petite sucrerie totalement décadente et délicieuse qui pourrait non seulement redonner des couleurs à vos fins de repas mais en plus vous aider à combattre le diabète !
Puce La friandise anti-diabète
Cet aliment puissant, c’est le chocolat (et je parle ici de vrai chocolat, pas des ersatz de chocolats que vous trouvez au rayon bonbon de votre supermarché !).

Les niveaux d’antioxydants de chocolat sont si exceptionnels qu’ils ont fait l’objet de nombreuses études médicales ces dernières années.
Plus récemment, une étude publiée dans le British Journal of Nutrition a découvert que le chocolat pouvait aider à diminuer deux des plus grands facteurs de risque pouvant provoquer du diabète : la résistance à l’insuline et l’élévation des enzymes hépatiques.
Les chercheurs ont analysé les habitudes de consommation de chocolat d’environ 1 200 personnes qui participaient à une étude sur la santé cardiaque.
Le but de l’étude était de déterminer si manger du chocolat avait un effet sur la résistance à l’insuline, un facteur qui perturbe le niveau de sucre dans le sang, qui augmente le risque de développer un diabète de type 2 et qui peut être la cause de certaines maladies cardiaques.
En outre, les chercheurs ont examiné les effets du chocolat sur les enzymes hépatiques. Des taux anormaux d’enzymes hépatiques sont l’un des facteurs-clés du diabète de type 2.
81,8% des sujets mangeaient au moins 24,8 grammes de chocolat par jour.
Quand ils ont comparé les résultats des mangeurs de chocolat à ceux qui n’en mangeaient pas, ils furent abasourdis !
Les mangeurs de chocolat avaient non seulement une résistance réduite à l’insuline mais ils avaient également amélioré leur taux d’enzymes hépatiques.
Mais ce n’est même pas cela le plus incroyable… les résultats de l’étude montrent que les bénéfices du chocolat étaient identiques quels que soient l’âge, le sexe, le mode de vie ou d’alimentation des sujets !
24,8 grammes représentent environ un quart d’une barre de taille moyenne de chocolat. Cela signifie que manger un tout petit peu de chocolat par jour peut prévenir l’apparition du diabète !
Puce Et il y a encore mieux…
Une autre étude a révélé que les gens qui mangeaient 100 grammes de chocolat noir par jour faisaient diminuer le risque de maladie cardiaque de 11% et leur risque de mourir de problèmes cardiaques de 25%.

Ce sont d’excellentes nouvelles pour les diabétiques qui peuvent donc oublier les horribles desserts spéciaux et profiter enfin d’une friandise agréable et saine !
Attention : tous les chocolats n’ont pas autant d’atouts. Ne vous laissez pas berner par des barres chocolatées extra-sucrées qui ne vous apporteront que du gras !
Fuyez-les, et optez pour des variétés de chocolat biologique qui ont une teneur en cacao de 70% ou plus. De cette façon, vous pouvez profiter d’un vrai dessert ET lutter contre le diabète en même temps.

Source: libredagir.fr


martes, 22 de noviembre de 2016

Dépister le diabète de manière précoce


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Le meilleur moyen de stopper le diabète est de le détecter avant qu’il ne devienne un problème, alors que l’adoption de moyens simples peut être très efficace, souligne le Dr Joseph Aloi du Wake Forest Baptist Médical Center (WFBMC).

Alors que le diabète prend des proportions épidémiques, un fait moins connu, dit-il, est que trois fois plus de gens sont atteints de prédiabète.

Dans le prédiabète, les niveaux de sucre dans le sang (glycémie) sont au-dessus de la normale, mais en-dessous du seuil du diabète. Il ne produit généralement pas de symptômes perceptibles, ce qui fait que 9 personnes sur 10 ignorent en être atteintes, selon les US Centers for Disease Control and Prevention (CDC).

Détecter le prédiabète permet de prendre des mesures de prévention. La progression vers le diabète de type 2 n’est pas inévitable, souligne le Dr Aloi. Un test sanguin courant, celui de l’hémoglobine glyquée (HbA1c), peut déterminer si le taux de glycémie est problématique. Il est simple et peu coûteux et ne nécessite aucune préparation spéciale (telle qu’être à jeun).

Ce test mesure le taux de glucose lié aux globules rouges du sang, ce qui fournit une bonne indication de la glycémie moyenne au cours des trois derniers mois. Il fournit une évaluation plus précise qu’un test de glycémie après 8 heures de jeûne, qui constitue un instantané à un moment précis.

Si le test révèle une glycémie élevée, le développement du diabète de type 2 peut dans la majorité des cas être prévenu ou retardé par des changements dans le mode de vie, tels qu’une perte de poids modérée (ex. 5 kg), une alimentation plus saine (moins de glucides et plus de fibres) et une activité physique accrue (20 minutes de marche tous les jours), qui peuvent être mieux que les médicaments antidiabétiques, dit-il. Chez les personnes plus jeunes, ajoute-t-il, il peut suffire d’éliminer les boissons sucrées.
Lorsque le diabète est installé, ces mesures peuvent encore avoir une efficacité pour un meilleur contrôle de la maladie, souligne-t-il.

Source: ihsnews.net

jueves, 17 de noviembre de 2016

Combattre le diabète : prévenir, dépister et traiter


Diabète : prévention et prise en charge 

Maladie mal connue du grand public, le diabète touche plus de 3,5 millions de Français, un chiffre en augmentation rapide. Il est ainsi au cœur d'un vaste programme de dépistage auquel participent de nombreuses mutuelles. Nos conseils.

Qu’est-ce que le diabète ?

Maladie chronique, le diabète se caractérise par la présence d’un taux de sucre (glucose) anormalement élevé dans le sang. Cette hyperglycémie est liée est à une insuffisance d’insuline, l’hormone de régulation du glucose sécrétée par le pancréas, ou à la défaillance de son utilisation par l’organisme. Le risque ? En l’absence de traitement, le diabète peut, à long terme, endommager différents organes (yeux, reins, nerfs, cœur, cerveau, pieds…).
On distingue 2 types de diabète.
•    Le diabète de type 1 est habituellement diagnostiqué chez des enfants, adolescents ou jeunes adultes. Il exige une administration quotidienne d’insuline.
•    Le diabète de type 2 se manifeste généralement chez des personnes de plus de 40 ans. Il représente 90 % des diabètes dans le monde d’après l’OMS.

Comment le prévenir ?

Hormis la prédisposition familiale, les causes du diabète de type 1 sont mal connues. L’environnement jouerait également un rôle (infections, alimentation...).
Le diabète de type 2 est lié à un ensemble de facteurs favorisant son développement chez des individus génétiquement prédisposés. En ligne de mire : la nutrition et la sédentarité. 

Comment le dépister ?

La maladie peut passer inaperçue pendant plusieurs années avant que les symptômes n’apparaissent : soif intense, augmentation du volume des urines, amaigrissement rapide, fatigue, altération de la vision.
Une prise de sang permet d’établir le diagnostic. Si votre glycémie à jeun est supérieure ou égale à 1,26 g/l à 2 reprises, un diabète est alors avéré.

Quel traitement ?

Si vous êtes atteint de diabète de type 1, votre corps ne fabrique plus d’insuline, il faut lui en apporter au moyen d’injections ou d’une pompe à insuline.
En cas de diabète de type 2, votre corps fabrique toujours de l’insuline, mais celle-ci est soit insuffisante (insulinopénie), soit n’agit pas correctement (insulinorésistance). Vous devrez d’abord suivre des mesures hygiéno-diététiques (équilibre alimentaire, perte de poids et pratique physique régulière). En fonction de l’évolution de votre diabète, votre médecin vous prescrira également des traitements oraux ou injectables.

Quelle prise en charge ? 

Une fois votre état de diabète avéré, votre médecin traitant doit vous déclarer en état d’affection longue durée (ALD). Dès lors, la Sécurité sociale prend en charge vos soins à 100 % et vous exonère de ticket modérateur (la part habituellement à votre charge après remboursement par l’Assurance maladie).

Source: generali.fr

martes, 15 de noviembre de 2016

L'huile extra vierge d'olive, arme contre le diabète



Sa consommation quotidienne réduit les problèmes vasculaires résultant du diabète sucré, selon une étude réalisée par l'Université de Malaga.


Les scientifiques de l'Université de Malaga intégrés à l'Institut de recherche biomédicale de la ville andalouse (IBIMA), en collaboration avec des experts de l'Institut Fat (CSIC), ont montré que la consommation quotidienne d'hydroxytyrosol, un polyphénol présent dans l'huile huile d'olive extra vierge, réduit ou pourrait même prévenir les problèmes vasculaires résultant du diabète sucré. Des recherches ont été menées sur des rats a été inoculé avec la maladie. L'étude publiée dans le Journal of Nutritional Biochemistry, testé pour la première fois que l'apport continu de hydroxytyrosol à faibles doses, de 0,5 à 2,5 milligrammes, est suffisante pour réduire l'inflammation associée à une maladie vasculaire.

Pour apprécier les avantages de hydroxytyrosol prendre l'huile d'olive extra vierge et des quantités quotidiennes brutes de 30 à 40 millilitres, soit environ 3 cuillères à soupe d'env. La clé est de commencer cet apport car la maladie est diagnostiquée d'arrêter sa progression, selon Jose Antonio González-Correa, l'un des chercheurs derrière l'étude de l'Université de Malaga. Hydroxytyrosol est un composé phénolique avec des propriétés antioxydantes que l'on trouve naturellement dans les olives et l'huile d'olive. Des études antérieures avaient déjà signalé certains des effets qu'elle produit, car il réduit le risque de maladie cardio-vasculaire, ce qui empêche l'apparition de certains types de cancer et possède des propriétés anti-inflammatoires et anti-infectieux.
La nouvelle étude andalouse a été réalisée expérimentalement avec 7 groupes de rats de 10 spécimens par groupe, certains d'entre eux, des groupes de contrôle, formés par des animaux non diabétiques, et d'autres composés pour les animaux diabétiques dont ils étaient fourni une solution saline. le diabète de chercheurs induisent eux à un degré qui les provoque diverses maladies, mais ne se termine pas avec sa vie.

À cette fin, ils maintiennent pendant deux mois avec des niveaux élevés de glucose dans le sang entre 250 et 400 mg / dL (milligrammes par décilitre) -, où les valeurs normales sont dans une plage comprise entre 70-120 mg / dL. Les résultats montrent que dans le cas des animaux diabétiques sont biomarqueurs maladies vasculaires et une réduction de deux vasodilatateurs a augmenté: de l'oxyde nitrique et de la prostacycline. Cela provoque des vaisseaux sanguins constriction et prévenir ou réduire l'écoulement du sang dans les artères, ce qui entraîne la détérioration ou la mort des tissus d'organes du corps. En revanche, chez les rats traités avec des biomarqueurs hydroxytyrosol de l'inflammation ont été réduits.


             muyinteresante.es

jueves, 10 de noviembre de 2016

Diabète: la surmortalité persiste, mais s’atténue chez les hommes


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La surmortalité liée au diabète persiste dans les deux sexes mais s’atténue pour les hommes.
Avec un recul de dix ans, la surmortalité globale des personnes diabétiques par rapport à la population générale est de +55% pour les hommes et +63% pour les femmes. C’est ce que révèle une étude publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) par les équipes de Santé publique France, en collaboration avec d’autres structures (CnamTS, Inserm-CépiDc, Irmes/Insep et Cnam).
L’analyse a porté sur plus de 14.000 personnes issues de deux cohortes (baptisées Entred 2001 et Entred 2007) de patients prenant des médicaments contre le diabète, à partir des bases du régime général de l’assurance maladie: 8437 patients pour la période 2002-2006 et 5869 pour la période 2007-2012. L’intérêt est de permettre une comparaison de la mortalité dans ces deux groupes à cinq ans d’écart. Une troisième cohorte sera d’ailleurs recrutée l’année prochaine (Entred 2017).

La surmortalité s’atténue pour les hommes

Pour les hommes, les taux de décès (toutes causes) standardisés sur l’âge, sont passés de 48,5 pour 1000 dans Entred 2001, à 35,8 pour 1000 dans Entred 2007, «soit une diminution significative de 26% entre les deux périodes», notent les auteurs. Chez les femmes la diminution entre les deux cohortes n’est que de 11%, de 30,5 à 27,1 pour mille, «à la limite de la signification statistique». Cela est essentiellement dû à une amélioration de la prise en charge de la santé de la population générale, diabétique ou non. En effet, lorsque l’on considère la surmortalité des diabétiques par rapport à la population générale, cette fois la surmortalité (toutes causes) qui a baissé chez les hommes (de +53% à +34%) entre les deux périodes, est en revanche restée stable chez les femmes autour de 50%.

Le poids du tabagisme pour les femmes

Pourquoi une telle baisse avec des différences entre les hommes et les femmes? «La mortalité par maladies cardiovasculaires est en partie responsable de cette évolution favorable, lit-on dans le BEH, avec respectivement pour les hommes et les femmes diabétiques une baisse de 30% et de 10% de la mortalité.» Le tabac pourrait jouer un rôle important dans la différence, car si certains facteurs de risque cardiovasculaire ont évolué de la même façon dans les deux sexes (amélioration du contrôle glycémique, de l’hypertension artérielle et de la dyslipidémie), «le pourcentage de fumeurs a diminué parmi les hommes (-2 points) et augmenté parmi les femmes (+2 points), particulièrement dans la tranche d’âge 45-64 ans (+5 points)». D’autres facteurs pourraient également être en cause chez les femmes, comme l’effet plus délétère de l’obésité, du diabète lui-même, ainsi qu’un bénéfice moindre de l’activité physique.



Source sante.lefigaro.fr

martes, 8 de noviembre de 2016

Tout diabétique souffre alzheimer?



Si vous ne prenez pas les mesures nécessaires, est susceptible d'être un de plus dans les statistiques disent que 70% des diabéticospresenta un déclin de la fonction cognitive et tend à développer la maladie d'Alzheimer.

La maladie d'Alzheimer est la forme la plus courante de démence et affecte environ 35 millions de personnes dans le monde entier.

Ce qui est nouveau est qu'une étude récente a révélé que cette maladie neurodégénérative pourrait être une expression dans le cerveau de type 2 ladiabetes à un stade avancé.

Dans la recherche, il a été donné des aliments riches en matières grasses de 20 rats de laboratoire pour le diabète de type 2 génèrent alors les fait d'eux des tests de mémoire et comparé les résultats avec ceux d'autres rats sains.

Comme prévu, les rongeurs diabétiques avaient des problèmes
de se rappeler et ils ont montré une capacité cognitive accélérée que la maladie a progressé détérioration.

En examinant le cerveau des rongeurs, des plaques amyloïdes, des dépôts d'amyloïde bêta extracellulaire caractéristiques des patients atteints de la maladie d'Alzheimer ont été détectés.

Ces plaques sont également formées dans le cerveau des diabétiques
en raison de la résistance exercée par le corps à l'insuline.

Cela signifie que la déficience cognitive vu dans le diabète de type 2 peut être à un stade précoce de la maladie d'Alzheimer, ce qui pose un éventuel lien direct entre les deux maladies.

Le gros problème de la maladie d'Alzheimer est que seulement 10% des adultes, consultez votre médecin quand la maladie commence. En effet, la grande majorité censé être normal de perdre la mémoire au fil des ans, ce qui retarde la détection précoce du mal.

Mon désir est de vous inciter à vous renseigner sur la maladie d'Alzheimer, car il est une maladie qui plus probable que vous ou un être cher à vous pouvez développer à l'avenir.


Et attention ... cette alerte à la présence d'un de ces symptômes:

* Confusion
* Problèmes parlent
* Écrit Problèmes
* Objets Placement dans des endroits inappropriés
* Désorientation dans des endroits familiers
* Problèmes de mémoire générale

Si vous reconnaissez l'une de ces situations, doit certainement être prises immédiatement.

jueves, 3 de noviembre de 2016

Boissons light: plus de 2 canettes par jour doubleraient le risque de diabète


Boissons light 

Les édulcorants artificiels de ces boissons pourraient perturber l’action de certaines bactéries de l’intestin, favorisant le développement de cette pathologie…
Boire des boissons light en remplacement de celles truffées de sucres ne serait pas bénéfique en matière de risque de développer un diabète de type 2. En effet, que les boissons soient light ou non, la probabilité d’apparition de la maladie est multipliée par deux chez les personnes consommant plus de deux canettes quotidienne.
Telle est le résultat et la conclusion formulée par des chercheurs suédois de l’Institut Karolinska de Stockholm, dont l’étude a été publiée dans l’European Journal of Endocrinology. Pour parvenir à cette conclusion, ils ont observé la consommation et l’état de santé de 2.800 personnes âgés en moyenne de 68 ans, amateurs de boissons sucrées et, pour certains seulement, diabétiques.

Les édulcorants des boissons light seraient responsable de perturber certaines bactéries de l’intestin

Bilan de l’étude: chez les personnes consommant au moins deux canettes de boissons allégées, le risque de diabète est multiplié par 2,4, et même par 4,5 chez ceux qui en boivent plus de cinq. De manière générale, chaque dose de 20 centilitres d’une boisson light fait augmenter le risque de la pathologie de 18 %. Soit un écart assez faible en comparaison avec les boissons non-allégées, pour lesquelles le risque est augmenté de 21 %.
La raisons à cela : selon les chercheurs, les édulcorants artificiels pourraient perturber l’action de certaines bactéries de l’intestin, favorisant alors le développement du diabète. La consommation de boissons light pourrait aussi être à l’origine d’une sensation de faim, poussant les personnes à se tourner vers des aliments sucrés.

Source : 20 Minutes avec agence
               sain-et-naturel.com

martes, 1 de noviembre de 2016

Qu'est-ce qui se passe dans le pancréas lorsque vous avez le diabète?


 

Le  pancréas  produit des hormones qui servent à métaboliser les glucides et faciliter la digestion. La principale hormone produite par le pancréas est l'insuline, qui est responsable du contrôle des niveaux de glucose sanguin. Si vous avez le diabète de type 2, l' insuline produite par le pancréas est insuffisante.

Qu'est-ce qui se passe dans le pancréas lorsque vous avez le diabète?

Voilà comment le pancréas fonctionne quand vous avez  le diabète de type 2 .

1 Avec le diabète de type 2 (DM2), le pancréas perd la capacité à sécréter de l'insuline après avoir mangé:

Dans un premier temps, le pancréas produit plus d'insuline que vous devriez, mais au fil du temps, ne peut pas suivre et arrête la production nécessaire pour maintenir les niveaux de glucose dans les paramètres normaux.
2- L'excès de glucose a besoin d'insuline au niveau, vous avez deux façons:
Utilisez -Pouvez comme énergie: exercice.
Il stocké sous forme de graisse: en surpoids ou obèses.

3-Certaines personnes atteintes de diabète de type 2 peuvent contrôler leur glucose:

-Faire Changements dans votre alimentation quotidienne et assez d'exercice.
-En Autres cas, il est nécessaire médicaments par voie orale et parfois l'insuline.
Le diabète de type 2 survient généralement chez les adultes de plus de 40 ans; cependant, il est de plus en plus fréquente chez lesenfants en raison de la surcharge pondérale et  l' obésité . Une vie saine, manger, l' exercice et d' aller à des examens annuels sont la meilleure façon de rester en bonne santé et de détecter toute maladie précoce.

Source: Fondation espagnole Digestive  diabetesbienestarysalud.com
                   diabetesb.blogspot.mx