jueves, 30 de marzo de 2017

Nouvelle insuline à dose rapide pour le traitement du diabète


Le géant Danois de l'industrie pharmaceutique, Novo Nordisk, a annoncé, lundi, le lancement de « Fiasp », une nouvelle insuline à dose rapide pour le traitement du diabète chez les adultes.
Ce nouveau produit, lancé au Canada à la suite d'une autorisation de mise sur le marché,  comporte une « formulation innovante correspondant plus étroitement à la réaction physiologique naturelle de l'insuline d'une personne sans diabète après un repas », précise un communiqué de Novo Nordisk.
« Le lancement de « Fiasp » représente la première nouvelle insuline à l'heure des repas en 10 ans. Nous espérons mettre cette innovation à la disposition du plus grand nombre de diabétiques dans le monde », a déclaré Mads Krogsgaard Thomsen, directeur scientifique de la compagnie.
« L'objectif de tout traitement à l'insuline est de faire correspondre la production naturelle d'insuline physiologique que nous observons chez les personnes sans diabète, à la fois en vitesse et en contrôle glycémique », a-t-il expliqué.
Pour s'assurer de l'efficacité et de la sécurité du nouveau produit, fruit de plus d'une dizaine d'années de recherches, ce traitement a fait l'objet de tests cliniques en quatre phases auprès d'un échantillon de 2100 personnes atteintes de diabète de types 1 et 2.
« Fiasp » a déjà reçu, en janvier dernier, l'autorisation de commercialisation  de la Commission Européenne, de la Norvège et de l'Islande, et se trouve à l'examen dans des pays comme l'Australie, la Suisse, le Brésil, l'Afrique du Sud et l'Argentine. 



Source: radioalgerie.dz

martes, 28 de marzo de 2017

Le jetlag des cellules favoriserait l’apparition du diabète

Le jetlag des cellules favoriserait l'apparition du diabète

Des chercheurs genevois ont découvert que le dérèglement des horloges cellulaires des îlots pancréatiques perturbe l'orchestration de la sécrétion d'insuline et de glucagon, favorisant l'apparition du diabète de type 2.
Comme la quasi-totalité des êtres sensibles à la lumière, nous sommes soumis à des rythmes biologiques calés sur une durée d'environ 24 heures. On appelle ainsi horloge circadienne (de « circa », environ et « dies », jour) le système interne qui nous permet d'anticiper les changements de jour et de nuit en régulant presque les aspects de notre physiologie et de notre comportement. A une époque où nos rythmes biologiques sont de plus en plus mis à mal – que ce soit par le travail de nuit, par le jetlag subit par les voyageurs ou encore par nos habitudes sociétales, les scientifiques commencent à entrevoir l'impact que le dérèglement de ces horloges peut avoir dans l'explosion des maladies métaboliques. Spécialistes du diabète, des chercheurs de l'Université de Genève (UNIGE) et des HUG, parmi lesquelle la Dre Charna Dibner, du Service d'endocrinologie et de diabétologie des HUG, ont étudié le rythme des cellules ɑ et β pancréatiques, responsables de la production de l'insuline et du glucagon, les deux hormones permettant de réguler le taux de glucose dans le sang. Leur verdict : au niveau cellulaire déjà, ces horloges internes orchestrent le tempo correct de la sécrétion hormonale et optimisent ainsi les fonctions métaboliques en anticipant les cycles repos-activité et jeûne-alimentation. Leur déréglement favoriserait ainsi l'apparition de maladies métaboliques. Cette découverte, à lire dans le journal Genes and Development, pourrait expliquer un facteur essentiel et pourtant méconnu du développement du diabète : le dérèglement des horloges circadiennes de nos cellules.

Source:  hug-ge.ch

jueves, 23 de marzo de 2017

Les trois modes de vie qui favorisent le diabète

Le travail de nuit, la multiplication de longs voyages en avion ou une vie de noctambule ne sont pas sans conséquence sur la santé. Une équipe de scientifiques genevois a découvert qu'un dérèglement de l'horloge circadienne favoriserait l'apparition du diabète.
Les chercheurs ont étudié le rythme des cellules alpha et bêta du pancréas. Les premières produisent du glucagon, entraînant une hausse de la glycémie, alors que les secondes fabriquent l'insuline, qui permet de faire baisser le taux de sucre dans le sang, a rappelé lundi l'Université de Genève (UNIGE).
Les deux types de cellules ont été étudiés séparément sur des souris. Les chercheurs de l'UNIGE et des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) ont alors découvert que les horloges des cellules alpha et bêta sont légèrement distinctes. Une adaptation précise et performante aux états de jeûne et d'alimentation est ainsi possible.
Attention au dérèglement
Une désynchronisation de ces horloges cellulaires pourrait donc perturber la sécrétion hormonale et l'homéostasie énergétique, le taux de sucre dans le sang n'étant plus constant au fil du temps. Ce déséquilibre favoriserait ensuite l'apparition de maladies métaboliques telles que le diabète et l'obésité.
Au cours de leurs expériences, les chercheurs ont pu vérifier cette hypothèse. Les souris, dont les îlots du pancréas étaient dépourvus d'horloge cellulaire, ont rapidement développé un diabète de type 2. La perturbation des rythmes a été suffisante pour empêcher une sécrétion hormonale normale et l'équilibre glycémique.
La désynchronisation entre les horloges internes et l'équilibre jour-nuit induit un déséquilibre métabolique général. Elle expliquerait pourquoi les gens travaillant de nuit, par exemple, sont plus susceptibles de souffrir de troubles métaboliques, quand bien même ils dormiraient autant que les autres pendant la journée.
Espoirs de thérapies
Les scientifiques doivent encore valider leurs résultats avec des études combinées sur des rongeurs et des îlots pancréatiques humains. Leur but est de prouver que les horloges biologiques des patients souffrant de maladies métaboliques sont perturbées. Des approches thérapeutiques pourraient ensuite être développées, concluent les chercheurs dans la revue Genes and Development.

Source: 24heures.ch

martes, 21 de marzo de 2017

Détecter le risque de maladie chronique grâce à un test sanguin

Détecter le risque de maladie chronique grâce à un test sanguin

Selon des travaux présentés lors de la conférence annuelle de l'American College of Cardiology (ACC), il serait désormais possible de détecter un risque de maladie chronique uniquement grâce à une prise de sang.

Une évaluation qui s'avère exacte dans 80 % des cas

Il sera bientôt possible de savoir si on risque de développer un diabète, une insuffisance rénale, une maladie coronarienne, une insuffisance cardiaque, une fibrillation auriculaire, une démence, une maladie pulmonaire obstructive chronique ou si on risque de faire un AVC ou une crise cardiaque, grâce à une simple prise de sang. C'est en tout cas ce qu'avancent des chercheurs dans une étude présentée à l'ACC, à Washington, le 17 mars dernier.
Selon ces travaux, il suffirait d'analyser les informations découvertes dans des tests sanguins et de les mettre en perspective avec l'âge des patients, pour prédire leur risque de souffrir d'une maladie chronique. Une évaluation qui s'avère exacte dans 80 % des cas. Pour Heidi May, auteure principale de cette étude, il s'agit d'un « outil clinique utile, facile à produire et qui n'ajoute pas de charge de travail aux médecins généralistes », a-t-elle expliqué au micro de France Info.

Un outil qui permettra de suivre les personnes à risque

À terme, « ce test pourra être utilisé pour aider les patients qui courent le plus de risques », a ajouté la chercheuse. Une personne qui risque de développer une maladie chronique pourra en effet être suivie avec un plus grand soin qu'un patient ordinaire. Le test, qui ne permet pas encore de prédire de quelle maladie exactement le patient risque de souffrir, a été expérimenté chez des hommes et des femmes en bonne santé.
Les chercheurs ont ainsi pu observer que lorsque les résultats du test étaient modérés, les femmes avaient trois fois plus de risques de souffrir d'une pathologie chronique et quand les résultats étaient élevés, les patients avaient 11 fois plus de risques. Chez les hommes, des résultats modérés multipliaient pas 5 le risque de développer une maladie chronique. Avec des résultats élevés, leurs risques étaient aussi 11 fois plus élevés. 

Source :    passeportsante.net

jueves, 16 de marzo de 2017

Diabète de type 2. Le régime sans gluten augmenterait le risque







Des chercheurs de l'université de Harvard (États-Unis) ont montré que les personnes qui consommaient régulièrement du gluten courraient moins de risques de souffrir d'un diabète de type 2. Les scientifiques recommandent de n'appliquer le régime sans gluten qu'aux personnes intolérantes ou atteintes de la maladie cœliaque, soit 1 % de la population en France et aux États-Unis.
Le régime sans gluten favoriserait l'apparition du diabète de type 2. Une étude de la Fédération américaine de cardiologie publiée ce jeudi affirme que les adeptes d'aliments « gluten free »risquent en effet l'hyperglycémie, soit un taux trop élevé de sucre dans le sang.
Les chercheurs, dont les travaux ont été présentés lors des sessions annuelles de la Fédération à Portland, pensent que seules les personnes atteintes de la maladie cœliaque (soit 1 % de la population en France et aux États-Unis) ou intolérantes au gluten devraient engager un tel régime.

Présent dans le pain, les pâtes, les biscuits…

Les chercheurs de l'Université de Harvard dans le Massachusetts (États-Unis) ont étudié les données de 200 000 patients sur une période de 30 ans, pour comprendre les effets du régime sans gluten. Les scientifiques se sont intéressés aux sujets sans contre-indication médicale pour la consommation de la protéine, naturellement présente dans les céréales comme le blé, l'orge et le seigle, et donc dans le pain, les pâtes, les pizzas ou encore les biscuits.
Leurs résultats ont montré que les personnes qui consommaient en moyenne 5,8 à 7,1 grammes de gluten par jour présentaient moins de risque de développer un diabète de type 2. A contrario, les scientifiques ont remarqué que les personnes qui favorisaient les produits sans gluten dans leur alimentation avaient davantage de risque de développer une hyperglycémie.

5 % des Français concernés

Les aliments sans gluten contiennent moins de fibres complètes, connues pour diminuer les risques de diabète. « Ces travaux viennent appuyer les avis de nutritionnistes qui alertent sur l'index glycémique très élevé des produits sans gluten transformés qui manquent par ailleurs de fibres et de nutriments (vitamines et minéraux) » ont précisé les auteurs.Si Novak Djokovitch, Jennifer Aniston ou encore Oprah Winfrey revendiquent l'absence de gluten dans leur alimentation, ce serait également le cas de près de 75 % des Américains, selon un sondage duConsumer Reports National Research Centre survey daté de 2014, rapporte Pourquoi Docteur. En France, la tendance toucherait seulement 5 % des consommateurs, à travers des régimes alimentaires de type végétarien, sans gluten ou vegan.



Source:  ouest-france.fr





martes, 14 de marzo de 2017

Diabète gestationnel : le sport pour prévenir les complications pendant la grossesse








Le test de dépistage du diabète gestationnel, pratiqué entre la 24e et la 28e semaine de grossesse, s'est révélé positif ? Pas de panique : avec un suivi diététique et une bonne surveillance des glycémies, la grossesse peut se poursuivre sans problème. Mais pour améliorer encore le retour à l'équilibre de la glycémie, si vous bougiez un peu (plus) ?

Pourquoi le sport minore-t-il les complications du diabète gestationnel ?

Les mesures classiques de contrôle du diabète gestationnel peuvent être contraignantes mais dites-vous que vous y aurez gagné quelques notions de diététique qui vous seront bien utiles pour retrouver et garder la ligne après bébé et aussi pour assurer une bonne croissance à votre enfant. Mais bon, c'est vrai que le régime en permanence, ça peut être bonbon. Raison de plus pour envisager de renforcer sa durée hebdomadaire d'exercice physique. En effet, bouger davantage quand on présente un diabète gestationnel peut permettre d'améliorer les taux de glucose après le repas (les médecins appellent ça le contrôle post-prandial). Cela fonctionne pour le diabète de type2 mais aussi pour le diabète gestationnel.

Des taux de glucose régulés avec de l'activité physique bihebdomadaire

De la marche, de la natation, du vélo… Vous avez le choix des moyens et plus vous diversifierez lesactivités physiques meilleurs seront les résultats. Inutile de forcer et de viser la plus haute marche du podium aux Jeux Olympiques ou le maillot jaune du Tour de France. Le mot d'ordre c'est intensité faible mais régularité, c'est à plus au minimum deux fois par semaine. Le but, c'était d'obtenir des changements dans le métabolisme musculaire. Et ça marche : l'activité physique, en complément au traitement standard, améliore significativement le contrôle glycémique post-prandial (rappelez-vous : après le repas) comparativement aux mesures diététiques habituelles.

Moins de complications en intensifiant les efforts

Les programmes d'exercices travaillant plus en souffle ou en résistance donnent également d'excellents résultats si vous travaillez à intensité modérée pendant 20 à 30 minutes mais au moins trois à quatre fois par semaine. Si vous bougez ainsi, raisonnablement, les complications (macrosomie, pré-éclampsie…) liées au diabète gestationnel peuvent être minorées, selon certaines études publiées dans des revues médicales de référence, et les niveaux de glucose sanguin post-prandial seront mieux contrôlés. Et en plus, bouger, c'est bon pour le moral.

Quelle action sur l'humeur ?

Enceinte, on a parfois le moral dans les chaussettes. La prise de poids, l'angoisse de l'inconnu, les craintes de complications, les relations de couple un peu déstabilisées, les raisons ne manquent pas. Grâce à l'activité physique, les taux d'endomorphines, ces fameuses hormones du bonheur, qui créent un état euphorique. Sans oublier, parmi d'autres, la sérotonine : il a été démontré que les taux anormalement bas de sérotonine sont généralement associés à des comportements impulsifs, agressifs, voire très violents.
A l'inverse, un taux haut de sérotonine participe à l'équilibre émotionnel et affectif. Pour obtenir un taux haut de sérotonine, rien de mieux que la pratique régulière d'une activité physique, parce que cela augmente la synthèse d'enzymes précurseurs de la sérotonine. Autrement dit, ça en fabrique.
Il y a aussi beaucoup d'autres mécanismes positifs, en lien avec l'activité physique, les hormones et les neurotransmetteurs quand on fait du sport. Moins d'anxiété et une meilleure tolérance à la douleur comme les contractions par exemple, c'est plutôt cool non, quand on est enceinte ?
Source:  neufmois.fr



viernes, 10 de marzo de 2017

Un régime spécifique capable d'inverser le diabète?


cancer, alimentation, diabète, sucre, lipides, jeûne 



Le jeûne semble inverser le diabète en reprogrammant les cellules, révèle une nouvelle étude menée par l'University of Southern California (USC).

Observer un jeûne favoriserait la croissance de nouvelles cellules pancréatiques produisant de l'insuline qui réduiraient les symptômes du diabète de type 1 et de type 2 , selon une étude sur les souris et les cellules humaines menée à l'University of Southern California (USC) aux Etats-Unis.
Diabète : régénération et reprogrammation des cellules

"Les cycles d'un régime alimentaire qui simule le jeûne et d'une alimentation normale ont essentiellement reprogrammé les cellules non productrices d'insuline dans des cellules productrices d'insuline, a déclaré Valter Longo, directeur du Longevity Institute et auteur de la recherche. En activant la régénération des cellules pancréatiques, nous avons pu sauver les souris des deux types du diabète. Nous avons également réactivé la production d'insuline dans les cellules pancréatiques humaines de patie


Source: nutrition.aujourdhui.com

martes, 7 de marzo de 2017

Le diabète contribue à l'apparition d'Alzheimer femmes



https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSNBCZvU4balNjfyQH7GfS9-OCnhUWaDfj9_4eI3HWvIlGQ44BKpL-OzA8lV7nvxnfcRXAsVR8-bnamPc-a9xACepvvanj_zSjCZEKlbopUHdTsuYi0xaHizL1NAtkdgemAAw4wrL-fws/s1600/pastedImage-794908.png 


Un groupe de chercheurs du Centre for Neuroscience à l'Université de Coimbra (Portugal) a découvert comment le diabète 2 peut être un facteur de déclenchement de la maladie d'Alzheimer chez les femmes.En utilisant un essai de souris développé depuis plusieurs années, on a montré que la réduction de l'hormone oestrogène pour "préménopausique" -Associated chez la femme est accéléré par l'incidence du diabète de type 2.La recherche se réfère également à la réduction de l'hormone sexuelle oestrogène dans le cerveau contribue au processus de dégénérescence des neurones, ce qui provoque un dysfonctionnement cognitif.Les chercheurs ont également été montré chez la souris que la réduction de l'oestrogène est expliquée par l'incapacité à être transporté dans le flux sanguin vers le cerveau, le même se produisant dans le transport du cholestérol, qui est liée à la production d'œstrogènes.Ana Duarte, l'un des auteurs de l'étude, a déclaré: «la femme est considérée comme un facteur de risque pour la maladie d'Alzheimer, en particulier après la ménopause."Cependant, Duarte a déclaré que «peu est connu sur la pré-ménopause, de sorte que les résultats de l'enquête suggèrent que le fait d'être de sexe féminin ou masculin affectent différemment la communication entre les cellules du cerveau ».Les chercheurs ont également conclu que les souris femelles avec des niveaux égaux ou inférieurs oestrogène aux mâles ont développé des mécanismes pour lutter contre les éléments d'adaptation qui accumulent dans le cerveau et qui serait associé à la maladie d'Alzheimer.Selon la recherche, certains éléments de protection tels que l'insuline pourraient expliquer comment les souris femelles ont des marqueurs moins pathologiques de la maladie d'Alzheimer que les hommes.L'étude conclut, entre autres, la nécessité d'établir des mécanismes pour la prévention du diabète de type 2 à différents stades de la vie pour prévenir la maladie d'Alzheimer. 

Source: vivecondiabetes.com

jueves, 2 de marzo de 2017

des dommages aux reins, des problèmes cardio-vasculaires ... Ce sont les maladies associées au diabète

diabèteLe  diabète  touche actuellement  422 millions de personnes à travers le monde (données à partir de 2014) selon  au rapport de l'Organisation mondiale de la santé : en 35 ans, le nombre de diabétiques a presque quadruplé (étaient 108 millions en 1980).
Main de diabète et d' autres maladies associées à ce que nous savons et des complications telles que des problèmes oculaires, des dommages aux reins ou des problèmes cardiaques peuvent apparaître. Telles sont les principales maladies associées au diabète et donc influer sur ceux qui souffrent.

diabèteLes diabétiques ont un risque cardiaque élevé

Peut-être la complication la plus connue et la plus répandue a chez les personnes atteintes de diabète est le risque accru de complications cardiaques. 65% des personnes atteintes de diabète meurent de complications cardiaques ou des problèmes cardio - vasculaires , et est actuellement considéré comme le diabète comme l' un des facteurs de risque de maladie coronarienne.
La plupart de la glycémie dans le cas des diabétiques rend ce beaucoup  plus susceptibles de se produire des problèmes de mauvaise circulation sanguine , favorise la formation de caillots dans la circulation sanguine (étant donné que le sang est beaucoup plus dense parce que le glucose) et génère un  pression artérielle plus élevée . Cela rend les gens qui souffrent de diabète sont deux fois plus le risque de maladie cardiaque.
Non seulement cela, mais les gens atteints de diabète ont aussi tendance à avoir  des niveaux plus élevés de cholestérol LDL  (qui connaissent habituellement comme «mauvais» cholestérol) et HDL inférieur ( «bon cholestérol»), et ce  favorise le développement de l' athérosclérose ou durcissement des artères .

La prévalence de la maladie cœliaque chez les diabétiques


La  maladie de la maladie coeliaque ou cœliaque  est une  intolérance alimentaire au gluten , une protéine trouvée dans les céréales telles que le blé, l' avoine, le seigle, l' orge ou de sarrasin, ce qui affecte 1% de la population espagnole. Le pourcentage chez les diabétiques de type 1 est beaucoup plus élevé: environ  10% d'entre eux souffre également de la maladie coeliaque .
En raison de cette relation étroite entre le diabète de type 1 et la maladie cœliaque, l'  American Diabetes Association recommande  des tests pour la maladie coeliaque dans les cinq premières années après avoir été diagnostiqué avec le diabète de type 1, l' espacement entre eux tous les trois ans plus tard.
Le diabète de type 1 de fait, ce qui implique  des précautions particulières avec le régime alimentaire du patient , car cela ajoute une intolérance au gluten peut  soustraire la qualité de vie pour ceux qui souffrent . Un diagnostic précoce, un bon contrôle de l' alimentation et l' activité physique quotidienne sont essentiels pour améliorer la qualité de vie des patients.

D'autres complications associées au diabète


Le  dommage du rein  est l' une des complications associées au diabète, avec une prévalence plus élevée chez les patients atteints de cette maladie et a appelé  la néphropathie diabétique . Il apparaît généralement accompagné de haute pression sanguine, de sorte que le contrôle de la tension périodique est important chez les patients diabétiques. 
Un mauvais contrôle de la glycémie peut  affecter les vaisseaux sanguins dans les reins  (qui sont rétrécies et bloqués), les nerfs du corps (qui peut cesser d' envoyer des informations sur le moment où la vessie est pleine, créant une pression sur reins) et même des voies urinaires (favorisant la survenue d'infections qui peuvent affecter les reins).
diabèteLes  problèmes de vision  sont aussi d' autres complications qui affectent les patients atteints de diabète: excès de sucre sanguin peut conduire à  la rétinopathie diabétique , l' une des causes les plus fréquentes de cécité chez les adultes. Cela se produit lorsque les vaisseaux sanguins dans la rétine sont endommagés et peuvent produire une vision double, vision floue ou des taches. Ces complications peuvent généralement être résolus par une intervention chirurgicale ou un traitement continu.

La prévention du diabète: mode de vie actif


diabèteLe  diabète de type 1 est unpreventable  et est causée par une attaque du système immunitaire du corps lui-même: il nécessite un traitement à vie par des injections d'insuline et ne diminue pas avec le temps.
Cependant,  le diabète de type 2 est étroitement liée à notre mode de vie  et son apparence peut être évitée ou au moins ralentir ce à travers une alimentation équilibrée et  un mode de vie actif . La pratique de l' activité physique quotidienne, le fait de garder notre poids idéal , tout en évitant le surpoids et l' obésité et le maintien d' un mode de vie actif sont des facteurs importants dans la prévention de l'apparition du diabète de type 2, avec une prévalence plus élevée dans Adul toux.

Source:  m.vitonica.com
                 diabetesb.blogspot.mx