jueves, 29 de octubre de 2015

Un jus pour guérir le diabète


 

Dans le sang de chacun il y a des niveaux de sucre qui doivent être à certains niveaux chaque jour et toute la journée. Lorsque la quantité de sucre dans le sang est faible chez certaines personnes elles peuvent éprouver de l’irritabilité, de la faiblesse, de la fatigue, des maux de tête, des tremblements, de la nervosité, et une faim incontrôlable
Lorsque les niveaux de sucre dans le sang sont trop élevés, notre corps produit de l’insuline. Le sucre dans le sang n’est pas quelque chose avec lequel vous pouvez jouer, cela peut affecter votre corps tout entier, et s’il tombe assez bas vous pourriez avoir un réel problème.
L’Aloe a été utilisé dans des études sur la glycémie et a une fois de plus donné de bons résultats. Des études ont été menées et de la recherche a été faite, l’Aloe Vera peut aider à réguler les niveaux de sucre dans le sang.
Aujourd’hui près de la moitié des français sont en surpoids. Il ya aussi plus de cas de diabétiques. Ces deux problèmes sont causés par les niveaux de sucre dans le sang, et sont également certains de nos problèmes les plus dangereux. Lorsque les niveaux de sucre dans le sang sont équilibrés, nous avons plus d’énergie pour l’exercice.
Nous constatons également que nous ne nous sentons pas aussi léthargique et paresseux quand nos niveaux de sucre dans le sang sont en hausse. Conserver un niveau de sucre dans le sang équilibré est important pour notre santé, et l’Aloe est capable de le faire. Les minéraux et oligo-éléments de l’Aloe sont de plus en plus utilisés pour des problèmes de santé.
L’Aloe contient les bons minéraux, oligo-éléments et vitamines pour contribuer à contrôler les niveaux de sucre dans le sang. Ce qu’une étude a fait, est que lorsque des diabétiques ont pris leur médicament, ils ont également pris une cuillère de jus d’Aloe. Un autre groupe a pris ses médicaments sans l’Aloe.
Les diabétiques qui avaient pris la cuillère de jus d’Aloe avaient une glycémie équilibrée, tandis que les personnes qui avaient pris seulement leur médicament ont eu une baisse de leur glycémie.

Quelques informations sur l’Aloe Vera

L’Aloe a une longue histoire en tant que remède pour de nombreux maux. Communément appelé Aloe Vera, la plante peut être séparée en deux produits de base: le gel et le latex. Le gel d’Aloe Vera est la pulpe ou le jus des feuilles, une substance gélatineuse translucide qui constitue la partie intérieure des feuilles.
Le gel contient des polymères d’hydrate de carbone, ainsi que divers autres composés organiques et inorganiques. Le latex d’Aloe, communément dénommé « jus d’Aloe », est un extrait jaune de tubules péricycliques juste sous la peau extérieure des feuilles. Pour une utilisation en tant que laxatif, le jus est souvent séché pour produire des granules d’Aloe qui sont de couleur brun foncé lors de l’exposition à l’air.

martes, 27 de octubre de 2015

Obésité : la chirurgie corrige le diabète avant même la perte de poids


illustrationobesitefinalsanspicto_fr 

 Chaque année, l’obésité tue 2,8 millions de personnes dans le monde. Face à un poids morbide – et au diabète de type 2 qui en est une conséquence directe – la chirurgie s’impose en dernier recours. Étrangement, chez les patients opérés, le diabète disparait avant et indépendamment de la perte du poids. Des chercheurs de l’Inserm, avec l’aide des médecins de l’hôpital Bichat, AP-HP, révèlent que l’intestin remodelé par l’intervention pourrait être à l’origine de ce meilleur contrôle de la glycémie. Cette étude est parue dans Gastroenterology.

La surcharge pondérale même légère n’est jamais inoffensive. A l’origine de maladies cardiovasculaires, de troubles musculo-articulaires et du développement d’un diabète de type 2, elle peut mener à un décès prématuré.
Lorsque l’excès de poids est tel qu’il menace la santé, il ne reste parfois qu’une solution : la chirurgie bariatrique pour réduire l’appétit du patient. Les interventions les plus couramment proposées sont la gastrectomie en manchon et le bypass gastrique. Quelle que soit la solution choisie, cela implique l’élimination d’une majeure partie de l’estomac. Dans le premier cas, l’estomac est remodelé pour ne former plus qu’un tube. Dans le cas du bypass, le circuit alimentaire est modifié : le chirurgien connecte directement une toute petite poche du haut de l’estomac à l’intestin formant la « branche Y ». Le reste de l’estomac, désormais exclu du trajet des aliments, continue à fournir les enzymes nécessaires à la digestion. Celles-ci rejoignent le circuit des aliments plus bas dans le tube digestif.

Curieusement, si les patients maigrissent rapidement dans les mois qui suivent l’opération, les médecins ont remarqué une nette amélioration de leur diabète de type 2, pratiquement dès leur sortie de l’hôpital. Comment expliquer ce phénomène ? Pour les chercheurs de l’Inserm, la réponse est claire : la chirurgie n’a pas qu’un simple effet sur la prise alimentaire mais modifie également le métabolisme de l’intestin.

Afin de confirmer leur hypothèse, les scientifiques ont reproduit les deux techniques chez un modèle de rat obèse.
A la suite du bypass, la branche Y des rongeurs grossit remarquablement car les cellules qui la constituent prolifèrent anormalement. De plus ces cellules exposent à leur surface un type de transporteur du glucose inhabituel pour l’intestin Ces observations sont retrouvées chez les patients opérés au sein de l’hôpital Bichat. Les personnes atteintes de diabète de type 2 sécrètent de l’insuline mais leurs organes ne lui répondent plus. Le taux du sucre dans le sang n’est plus contrôlé et reste anormalement élevé après chaque repas ce qui endommage les tissus.
« Nous avons marqué le glucose pour suivre son trajet. Après la chirurgie, l’intestin nouvellement remodelé du patient, comme celui du rat, se met à consommer des quantités très importantes de glucose, explique Maude Le Gall, chargée de recherche Inserm. Il détourne le glucose alimentaire et sanguin pour sa propre consommation. Ce phénomène, qui se met en place au bout d’à peine quelques jours, pourrait contribuer à l’amélioration rapide de la glycémie et la disparition du diabète. »
La gastrectomie, un mécanisme différent pour un résultat similaire
L’opération par gastrectomie, quant à elle, n’influe pas sur la taille de l’intestin mais agit aussi sur son fonctionnement cellulaire. L’absorption du glucose alimentaire par les cellules intestinales devient moins importante. En revanche, le nombre de cellules sécrétant le peptide GLP-1 augmente considérablement, alors que sa production est habituellement défaillante chez les personnes obèses. Celui-ci agit sur le pancréas pour augmenter sa production d’insuline. En conséquence, le contrôle de la glycémie en réponse à l’ingestion de nutriments est plus rapide.
« Ces résultats sont la preuve que la gastrectomie en manchon et le bypass gastrique, alors qu’ils ont des effets très semblables, sur le diabète n’impliquent pas les mêmes mécanismes, ajoute Maude Le Gall. En même temps, ils révèlent le rôle de l’intestin en tant qu’acteur majeur du contrôle de la glycémie »
Si plus d’études sont nécessaires pour comprendre ces processus, cette découverte profile l’espoir de nouvelles alternatives pour traiter le diabète de type 2 sans passer par la chirurgie.

jueves, 22 de octubre de 2015

L’éternel combat contre le diabète


 

Rivière-des-Prairies est le deuxième secteur ayant la plus forte prévalence de diabète de type 2 à Montréal. C’est pour contrer celle maladie chronique dévastatrice, qui serait particulièrement dommageable pour la communauté haïtienne, qu’un jeune homme a fondé un organisme voué à la prévention.
Né en Haïti, Pierre Réginald Azar n’avait 14 ans lorsqu’il a perdu sa mère, en raison du diabète et de l’hypertension. L’homme maintenant âgé de 26 ans veut éviter que d’autres ne subissent le même sort, d’autant plus que les personnes d’origine haïtienne ont tendance à développer cette maladie en plus forte proportion.
«Historiquement, les personnes noires ont plus tendance à développer cette maladie. De plus, la cuisine haïtienne est très riche en sucre. Il faut donc tenter de changer leur alimentation et ça demande beaucoup de conscientisation», analyse-t-il.
Plusieurs facteurs
Si l’on ajoute à ces facteurs le stress que peuvent vivre les immigrants ou une faible pratique d’exercice physique, tous les éléments sont réunis pour le développement du diabète à un âge précoce.
Le Fond-Action santé communautaire Bénise Normil (FASCBN), appelé ainsi en l’honneur la mère de M. Azar, a vu le jour en 2014.
À la recherche de subventions et seul salarié pour l’instant, le fondateur et des bénévoles ont été en mesure d’accompagner une quarantaine de personnes jusqu’à maintenant.
«Pour résoudre le problème, il faut aller en amont et trouver des solutions durables pour retarder le développement de la maladie», dit M. Azar, qui passe la majorité de son temps à intervenir auprès de la jeunesse, notamment en visitant les lieux où elle se rassemble, comme les maisons de jeunes.
Il croit que la solution réside dans l’accumulation de petits gestes plutôt simples, comme de boire un verre d’eau plutôt qu’un verre de jus.
Statistiques
Du côté du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Est-de-l’Île de Montréal, le rapport annuel de gestion 2013-2014 indique que la «Pointe-de-l’Île est le territoire où l’on trouve le plus de personnes atteintes de maladies chroniques à Montréal».
Rivière-des-Prairies compte 34 % d’immigrants, dont plusieurs de la communauté haïtienne.
«Avec une prévalence de 10,2 %, le secteur de Rivière-des-Prairies figurait parmi les quartiers où la prévalence [du diabète] était la plus élevée à Montréal», ajoute-t-on, dans le rapport.
Seul le territoire Saint-Léonard-Saint-Michel affichait un tôt plus élevé dans la métropole, avec 10,4 %.
Nathalie Rochon, conseillère en prévention et promotion de la santé au CIUSSS, estime aussi que les gestes quotidiens font partie de la solution.
«Faire trois fois 10 minutes d’exercice vaut la même chose que 30 minutes. On peut stationner la voiture plus loin et marcher ou prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur.»
Pour aider les gens souffrant de diabète, le CIUSSS offre une gradation dans son offre de service, question de répondre adéquatement aux besoins, selon le stade de la maladie et la difficulté qu’éprouvent les patients à la contrôler.
On explique que l’idée est de travailler en complémentarité avec différents organismes, comme celui de M. Azar.

martes, 20 de octubre de 2015

L'obésité accélère l'évolution vers le diabète


L'obésité accélère l'évolution vers le diabète 
L'obésité est un facteur de risque bien connu pour devenir diabétique. Ce qui est de plus en plus confirmé, c'est que l'amaigrissement freine l'évolution vers le diabète. Il n'est donc jamais trop tard pour agir, car perdre du poids diminue le sur-risque de diabète.

L’obésité mène au diabète

Avant de devenir diabétique, il est classique de passer par un stade dit « d'intolérance au glucose » (sucre), défini comme une anomalie de l'évolution de la glycémie lors de l'ingestion de sucre.
Le surpoids et l’obésité étant des facteurs de risque du diabète, il est intéressant de se demander si la perte de poids permet d’annuler cette évolution vers le diabète. Une étude apporte une réponse positive à cette question.

La perte de poids diminue le risque de diabète

L’objectif de cette étude était de savoir si le fait de normaliser son poids à l’âge adulte alors que l’on a été un enfant obèse, permet de diminuer son risque de complications et de retrouver un risque égal à celui des sujets qui n’ont jamais été en surpoids.
Plus de 6.000 enfants âgés en moyenne de 11 ans ont été suivis jusqu’à l’âge adulte, soit durant 23 ans. On retrouvait dans cette population tous les cas de figure, soit une majorité d’enfants de poids normal, qui ont maintenu leur poids à l’âge adulte, et 15% qui sont devenus des adultes obèses. Mais aussi des enfants obèses, qui le sont restés à l’âge adulte (82% d’entre eux) ou qui ont réussi à normaliser leur poids.
On constate ainsi qu’un enfant en surpoids devenu un adulte obèse a un risque de diabète multiplié par 4 ! Les autres risques de complications sont également accrus, avec un risque plus élevé d’hypertension artérielle, d’excès de cholestérol, et au final de maladies cardiovasculaires.
En revanche, chez les enfants obèses qui ont normalisé leur poids en grandissant, le risque de développer ces complications dont le risque de diabète est similaire à celui des sujets qui ont toujours eu un poids normal.

Prévenir le surpoids prévient donc aussi le diabète

La perte de poids permet donc de normaliser les risques liés à l’obésité infantile. C’est plutôt une bonne nouvelle car face aux difficultés et aux efforts nécessaires pour réussir à perdre du poids, tous les encouragements sont les bienvenus.
De la même façon, les adultes diabétiques obèses peuvent diminuer leurs risques en perdant ne serait-ce qu’un peu de poids. Dans la plupart des cas, une perte de 5 à 15% du poids entraîne des bénéfices pour la santé.
Reste que la prévention du surpoids chez l’enfant est la meilleure façon de ne pas devenir un adulte obèse… et diabétique ! Cette prévention repose en premier lieu sur le suivi régulier de l’indice de masse corporelle des enfants, afin de pouvoir réagir en collaboration avec son médecin, au premier signe d’anomalie. L’important est d’agir très tôt, lorsque le surpoids n’est pas encore installé et q





jueves, 15 de octubre de 2015

10 signes qui peuvent alerter sur le diabète


 

Tout le monde peut être diabétique. Découvrez les signes de cette maladie chronique que l’on peut traiter, contrôler

Une perte de poids inexpliquée
Si vous perdez du poids jusqu’à cinq kilos et plus, en peu de temps, sachez que c’est un signe que votre corps fonctionne mal. Une fois que le taux de sucre dans votre sang est élevé, les cellules de votre corps viennent à manquer de glucose. Ils vont donc récupérer dans les muscles un substitut d’énergie. Ce mécanisme favorise la perte de poids et fatigue en même temps vos reins qui sont en surrégime.

Les problèmes de vues
La hausse du taux de glucose dans le sang modifie la forme de la lentille et par voie de conséquence, de l’œil. Les gênes au niveau de l’œil sont alors perceptibles. La vision floue est une des conséquences du diabète de type II.

Cicatrisation lente des coupures
Quand le taux de sucre est à un haut niveau dans le sang, cela affecte également la circulation sanguine. Les soucis dans le système nerveux que cela engendre rendent la cicatrisation plus difficile. Si vous constatez ces symptômes, n’hésitez pas à aller voir votre médecin.

La sensation de faim persistante
Vous avez toujours faim ? Attention, cela peut être signe de diabète ! En effet, un taux de sucre élevé dans le corps peut entraîner une envie de manger en hausse et persistante. Pour une raison inconnue, l’insuline (le principal régulateur des substrats énergétiques tels que le glucose ou les acides gras) ne fonctionne pas normalement. Du coup, le pancréas est amené à en produire plus. Cette proportion anormalement élevée d’insuline donne l’impression au cerveau d’un manque de nourriture dans le corps. Ce qui explique la faim continue.

Sensations de fatigues
Un corps qui ne produit pas suffisamment d’insuline, n’a pas assez d’énergie. Du coup, la fatigue s’installe rapidement. Dans le cas où vous sentez une fatigue chronique, songez à consulter un docteur.

Les pieds douloureux ou engourdis
L’engourdissement au niveau des terminaisons du corps est un signe de mauvaise circulation sanguine ou de diabète. Si cette sensation de gêne progresse, il est nécessaire qu’un médecin surveille sa progression.

Des envies fréquentes d’uriner
C’est l’un des signes les plus notoires du diabète. Si autrefois, vous n’allez aux toilettes qu’une fois par nuit et qu’à présent, il vous faut vous lever trois fois, prenez garde ! Votre corps veut probablement se débarrasser du fort taux de sucre dans le sang en déclenchant plus d’envie d’uriner.

Une soif qui ne cesse jamais
Quand vous urinez fréquemment, votre corps a besoin de se réhydrater. Il est donc normal que vous ayez toujours soif et cela ne s’arrêtera que quand votre docteur vous aidera à diminuer votre diabète.

Envie de se gratter
Les démangeaisons incessantes vous donnent envie de vous gratter. Du coup, vous le faites de plus en plus souvent. Il s’agit là d’un possible signe de diabète. Il faut donc approcher un spécialiste, pour déterminer la cause de ces démangeaisons.

La présence des mycoses
Les infections types mycoses sont légion chez les personnes diabétiques. Ces germes prolifèrent dans les endroits humides et chauds et se nourrissent de glucose. Les diabétiques en sont infectés au niveau des parties génitales, mais aussi entre les doigts de pieds, sous les seins ou au niveau des aisselles.

 

martes, 13 de octubre de 2015

Diabète : augmentez le temps d'activité sportive !


Diabète : augmentez le temps d'activité sportive !  

Les diabétiques devraient faire plus d'activité physique que les autres, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue médicale Journal of Applied Physiology
Les études sont unanimes. L'activité physique est bonne pour la santé et devrait être pratiquée régulièrement. Pour garder la forme et préserver sa santé, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande de faire 10 000 pas par jour. Car la pratique régulière d'un sport permet de diminuer jusqu'à 39 % le risque de développer un cancer du sein, de 26 % le risque de développer un cancer colorectal, de 25 % le risque d'être victime d'une attaque cérébrale et de 34 % le risque de diabète. Mais, pour obtenir les mêmes bénéfices, les diabétiques devraient augmenter le temps passé à faire du sport.
Les chercheurs de l'Université de Lund (Suède) ont réalisé une étude pour comprendre les bienfaits de l'exercice physique sur les individus à risque de diabète de type 2. 50 hommes légèrement en surpoids, dont 25 étaient à risque élevé de diabète et 25 sans risque particulier (le groupe témoin), ont participé à un programme d'exercices pendant 7 mois. Le groupe à risques a pratiqué plus d'heures de sport que les autres. Les participants ont, tout le long de l'étude été suivis médicalement. Leur glycémie a été mesurée.
Les résultats de l'étude ont montré que les deux groupes ont perdu du poids, réduit leur tour de taille et amélioré leur condition physique. En revanche, ils ont aussi montré que les participants du groupe à risque devaient faire plus d'exercice pour atteindre les mêmes résultats que les participants du groupe de contrôle.

Le diabète en chiffre

Il existe deux types de diabète. Le diabète de type 1 dû à une absence de sécrétion d'insuline par le pancréas. Il touche environ 10% des diabétiques et atteint surtout les personnes jeunes.
Le diabète de type 2 est dû à une mauvaise utilisation de l'insuline par les cellules de l'organisme. Il est beaucoup plus fréquent et représente 90 % des diabètes. En France, il touche environ 3 millions de personnes, soit 4,7% de la population. Des chiffres qui augmentent chaque année en raison de mauvaises habitudes alimentaires et d'une vie quotidienne de plus en plus sédentaire.

jueves, 8 de octubre de 2015

Le diabète est mauvais pour le cerveau


 

Un mauvais contrôle de la glycémie augmente le risque de démence chez les diabétiques.
Le diabète, connu pour augmenter le risque d'infarctus, de troubles de la vision, d'accident vasculaire cérébral ou encore d'insuffisance rénale… jouerait également un rôle dans le développement des démences, dont la maladie d'Alzheimer. Et plus particulièrement chez les personnes dont le contrôle de la glycémie n'est pas bon.
Chez ces dernières, le risque de démence est 50% plus élevé que chez les diabétiques dont le contrôle glycémique est bon, comme le montre une étude présentée lors du dernier congrès de diabétologie à Stockholm. Pour parvenir à ce résultat, les chercheurs de l'institut de Göteborg, en Suède, ont suivi pendant huit ans plus de 350.000 diabétiques âgés de plus de 50 ans et non atteints de démence lors de leur inclusion dans l'étude. Ces patients ont été suivis jusqu'à leur décès, leur admission à l'hôpital pour démence, ou la fin de l'étude en 2012. Les auteurs cherchaient à explorer l'association entre un «témoin» de la maladie, le taux hémoglobine glyquée et le risque d'hospitalisation pour démence chez les personnes atteintes de diabète de type 2.

Lien entre hyperglycémie et troubles cognitifs

La concentration d'hémoglobine glyquée, qui évalue la moyenne du taux de sucre sur les trois derniers mois, renseigne sur la qualité de l'équilibre glycémique. Il s'agit d'un index rétrospectif, à l'inverse de la glycémie qui donne un résultat valable pour le jour du prélèvement. Au total, 13.159 événements de démence ont été observés sur un suivi moyen de 4,8 ans. Et les patients avec une hémoglobine glyquée de 10,5% ou plus avaient 50 % plus de risques d'être hospitalisés pour démence que ceux avec un taux d'hémoglobine glyquée de 6,5%. «Le cerveau dépend du glucose pour fonctionner et n'en fabrique pas, il n'est donc pas étonnant qu'il existe un lien entre hyperglycémie et troubles cognitifs », explique la Pr Lyse Bordier, diabétologue à l'hôpital Bégin, à Saint-Mandé.
Avec le temps, l'hyperglycémie va être responsable de micro-angiopathie, c'est-à-dire qu'elle va affaiblir les parois des petits vaisseaux sanguins qui approvisionnent les tissus en oxygène et en éléments nutritifs, entraînant des troubles de la cognition et augmentant le risque de démence.
Cela signifie-t-il que l'on peut prévenir les démences chez les diabétiques en contrôlant strictement la glycémie? Lyse Bordier reste prudente : «Cette étude démontre que lorsque le diabète est mal équilibré, les risques de démence augmentent, mais elle n'aborde pas tous les paramètres complexes impliqués dans l'apparition des troubles cognitifs des diabétiques. Notamment le rôle délétère des hypoglycémies», souligne la spécialiste. Par ailleurs, les personnes les plus à risque de développer une démence dans l'étude suédoise avaient un taux d'hémoglobine glyquée particulièrement élevé.
En France, moins de un diabétique sur dix atteint ce taux de 10 % selon l'étude Entred réalisée par l'Assurance-maladie, et le niveau moyen se situe à 7,1 %. On peut cependant souligner que seuls 30 % des diabétiques atteignent l'équilibre glycémique maximal inférieur à 6,5 %. «Mais cet objectif maximal ne signifie pas grand-chose : il doit être individualisé en fonction du patient. Nous serons bien plus ambitieux avec un quadragénaire qui vient d'être diagnostiqué qu'avec une personne de 85 ans polypathologique », affirme Lyse Bordier.

martes, 6 de octubre de 2015

comment faire baisser le taux de sucre ?


Diabète: comment faire baisser le taux de sucre ?  
Trop de sucre... montrent vos dernières analyses. Faut-il se décider à prendre des médicaments tous les jours ? D'autres moyens permettent-ils de faire baisser cet excès de sucre qui abîme les artères ? Le Dr Elisabeth Emin-Richard, diabétologue au Centre hospitalier de Valence, fait le point, quelques jours avant la Journée mondiale du diabète, le 14 novembre prochain.

À partir de quel taux de sucre dans le sang faut-il se méfier ?

Un taux de sucre (glycémie) supérieur à 1,26 g/l (après au moins 6 heures de jeûne) indique un diabète. Il est toutefois nécessaire de vérifier ce résultat plusieurs fois pour en être sûr. Mais à partir d’une valeur de 1 g/l à jeun, il faut se méfier. Une glycémie comprise entre 1 et 1,26 g/l révèle déjà une intolérance au glucose : le pancréas peine à sécréter toute l’insuline nécessaire pour conserver un taux de sucre normal. Ce qui est indispensable pour préserver ses organes. Après 45 ans, dans une famille où il y a des diabétiques, il est conseillé de faire doser sa glycémie régulièrement : tous les deux ans, voire tous les ans.

Fini les pâtisseries, du miel à la place du sucre… cela suffit-il ?

Certes, la façon dont on s’alimente influence le diabète. Mais il n’est pas question de mettre en place un régime ni de supprimer totalement le sucre de son alimentation. Pour soigner le diabète de la maturité, il est même plus important de réduire les graisses que le sucre. La HAS (Haute Autorité de santé) donne trois conseils principaux : ne pas grignoter entre les repas, ne pas sauter de repas (donc faire trois repas équilibrés par jour) et limiter les graisses. Côté sucre, il faut essentiellement éviter les boissons ou les aliments très sucrés, comme les sodas, les desserts du commerce, le miel tous les jours… Mais une pâtisserie le dimanche ou de temps en temps, ce n’est pas contre-indiqué.

Comment l’activité physique peut-elle faire baisser le taux de sucre ?

L’effort physique fait consommer du sucre, puisque c’est le carburant de nos muscles ! Il fait aussi baisser la tension et perdre du poids. Or, il est prouvé que la perte de quelques kilos fait déjà baisser le taux de sucre dans le sang. Les études montrent surtout l’effet bénéfique de l’activité physique sur la diminution du risque de diabète et de ses complications. L’idéal est de pratiquer 30 minutes d’activité soutenue de suite (marche rapide ou autre) tous les jours. Mais il faut le faire selon ses moyens. Si on ne faisait rien et qu’on se met à marcher 10 à 15 minutes tous les jours, cela aura déjà un impact. Il y a aussi le jardinage, la piscine, le vélo, promener le chien… Ce qui compte, c’est la régularité. Il faut bouger tous les jours !


jueves, 1 de octubre de 2015

L’exercice : un mode de traitement contre le diabète

L’exercice est un outil important dans la gestion de votre diabète, afin de vivre une vie plus longue et plus saine.
1. L’exercice augmente la sensibilité de l’insuline et le métabolisme du glucose. La clé avec le diabète de type 2 est l’insensibilité à l’insuline, ou la résistance à l’insuline. En exerçant vous pouvez améliorer la façon dont fonctionne votre insuline, cela vous aide à contrôler votre taux de glucose sanguin.
2. L’exercice améliore votre taux de cholestérol. L’exercice aide en augmentant le bon type de cholestérol(HDL) et en abaissant le mauvais type de cholestérol(LDL). L’exercice peut aussi baisser les niveaux de triglycérides. Ce sont de bonnes nouvelles pour les diabétiques qui ont un risque accru de maladies cardiovasculaires. L’exercice, un régime alimentaire sain et absence de drogues vous permet de vivre une vie meilleure.
3. L’exercice peut diminuer la pression artérielle. De nombreux diabétiques ont de l’hypertension en parallèle de leur diabète. L’exercice peut réduire à la fois votre pression artérielle au repos et à l’effort. Ceci est très important pour réduire vos risques de maladies cardiovasculaires et d’AVC.
4. L’exercice peut aussi améliorer l’efficacité du cœur. Cela aide également avec les facteurs de risques cardio-vasculaires. Vous serez en mesure de faire des exercices plus difficiles facilement, de sorte que l’exercice rendra la réalisation de vos tâches quotidiennes plus facile. Beaucoup de gens ne font pas de l’exercice parce qu’ils pensent qu’ils ne disposent pas d’énergie suffisante, mais au contraire ils ont besoin de l’exercice pour obtenir de l’énergie nécessaire.
5. L’exercice peut améliorer votre humeur. Le diabète peut être une maladie stressante, l’exercice vous permet de sentir mieux mentalement et physiquement. L’exercice peut même améliorer la dépression qui peut être la conséquence des années de diabète.
6. L’exercice contribue d’une façon spectaculaire dans la perte de poids et le maintien d’un poids santé. De bons exercices avec une quantité suffisante aide à bruler les graisses et préserver la masse musculaire. La perte de poids peut améliorer la pression artérielle, la résistance à l’insuline, la glycémie et le taux de cholestérol.
7. L’exercice aide à réduire le risque de complications associées au diabète. Un meilleur contrôle de votre glycémie aide à prévenir les complications graves du diabète, y compris la cécité, l’insuffisance rénale, neuropathie…
L’exercice est une partie importante de tout plan de traitement du diabète. Pour éviter d’éventuels problèmes, vérifiez votre glycémie avant, pendant et après l’exercice.
S’il vous plait parlez-en à votre médecin et commencez l’exercice ! Vous allez vous sentir tellement mieux.