martes, 31 de enero de 2017

L’arbre miracle qui pourrait guérir 300 maladies, y compris les tumeurs cancéreuses et le diabète





L'arbre miracle qui pourrait guérir 300 maladies, y compris les tumeurs cancéreuses et le diabète

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Alors que le moringa oleifera reste relativement inconnu en Occident, il a développé une réputation dans ses terres natales pour sa valeur nutritive exceptionnellement élevée.
Cet arbre, qui est également nommé « l'arbre à raifort », a de minuscules feuilles arrondies qui sont abondantes en un très grand nombre de nutriments:
Calcium, protéines, vitamine C, bêta-carotène, potassium.
Cela explique la longue tradition de son usage médicinal, ainsi que son utilisation alimentaire, d'environ 4000 ans et plus.
Des chercheurs en santé ont même commencé à lui donner des surnoms tels que « L'arbre miracle » et « L'élixir de longue vie » en raison de ses capacités de guérison miraculeuse.
Regardons de plus près les bienfaits du Moringa et voyons si ces noms sont justifiés.
1. Le Moringa est riche en fibres et on dit qu'il agit comme un balai dans vos intestins et nettoie tout excès de déchets laissés par une mauvaise alimentation.
2. Il contient un antibiotique puissant et très efficace pour éliminer une bactérie connue pour causer la gastrite, les ulcères et le cancer gastrique.
3. La graine de cet arbre s'avère même capable de purifier l'eau, et elle le fait encore mieux que la plupart des matériaux synthétiques classiques qui sont utilisés de nos jours.
4. Les feuilles de Moringa sont abondantes en vitamines, minéraux, acides aminés essentiels et beaucoup plus d'ingrédients. Dans 100 grammes de feuilles sèches moringa il y a:
  • 9 fois plus de protéines que dans le yogourt
  • 10 fois plus de vitamine A que dans les carottes
  • 15 fois plus de potassium que dans la banane
  • 17 fois plus de calcium que dans le lait
  • 12 fois plus de vitamine C que dans les oranges
  • 25 fois plus de fer que dans les épinards
5. L'acide chlorogénique présent sur les feuilles est connu pour ralentir le processus d'absorption du sucre dans les cellules.
6. Le Moringa a des effets anti-tumoraux et anti-cancéreux, ce qui est une conséquence de la présence d'un composé appelé niaziminine.
7. Favorise la régulation de la fonction thyroïdienne, en particulier en ce qui concerne la thyroïde hyperactive.
Par conséquent, le Moringa est une plante médicinale très bénéfique qui mérite une place dans la l'armoire à pharmacie de tout le monde.



Source:  xn--sant-et-sport-ehb.com



jueves, 26 de enero de 2017

Diabète de type 2 : la musculation, un sport efficace pour réduire le risque cardiovasculaire

Et si vous vous mettiez à la musculation ? D'après une nouvelle étude canadienne, cette discipline mal-aimée serait excellente en cas de diabète de type 2 : dès la première séance, le risque cardiovasculaire diminuerait de manière significative.
Pour la nouvelle année, vous avez décidé de vous mettre au sport ? Excellente idée : et si vous souffrez d'un diabète de type 2 , on vous conseille vivement la musculation  ! En effet, selon une nouvelle étude canadienne (qui nous vient tout droit de l'Université de la Colombie-Britannique Okanagan), soulever de la fonte permettrait de réduire de manière significative les risques cardiovasculaires...
« Chez les personnes souffrant d'un diabète de type 2, le risque de subir un problème cardiovasculaire (arythmie cardiaque, athérosclérose , infarctus, AVC...) est multiplié par quatre », explique Jonathan Little, le principal auteur de ces travaux, qui ont été publiés dans la revue scientifique American Journal of Physiology . « Or, nous avons découvert qu'après une seule séance de musculation, la fonction cardiovasculaire s'améliorait, ce qui réduisait considérablement les risques. C'est un sport que chacun peut pratiquer, et qui ne demande pas un gros investissement financier. »

20 minutes suffisent pour observer les premiers résultats

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont travaillé avec 35 volontaires (des hommes et des femmes âgés de 56 ans en moyenne), qui ont participé à une séance de musculation de 20 minutes - 7 x 1 minute d'effort intense + 1 min de repos entre chaque exercice + l' échauffement et les étirements.
Du côté du programme, rien d'insurmontable : les participants expérimentaient la presse à cuisses (une machine qui, comme son nom l'indique, muscle les cuisses : il s'agit de pousser un poids vers le haut avec les pieds, couché tête en bas), réalisaient des extensions de bras au-dessus de la tête avec des haltères et soulevaient ces dernières à l'horizontale, à hauteur d'épaule.
« Cet entraînement en endurance est accessible à tous, même aux personnes qui n'ont jamais fait de sport » précisent les scientifiques. En revanche, pas question de vous jeter directement sur les machines si vous êtes novice : demandez l'avis de votre médecin (et l'aide d'un professionnel) avant de prendre un abonnement à la salle de sport...



Source:  topsante.com

martes, 24 de enero de 2017

Une nouvelle piste pour prévenir le diabète de type 1


Des chercheurs ont réussi à stopper un diabète de type 1
Le diabète de type 1 est une maladie une maladie auto-immunitaire qui s'attaque spécifiquement aux cellules bêta du pancréas. Des chercheurs ont réussi à stopper la destruction des cellules bêta du pancréas chez des souris en ciblant une catégorie de lymphocytes T qui serait à l'origine de la maladie.
Les chercheurs ont découvert que les lymphocytes Th17 seraient impliqués dans des maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques. C'est pourquoi leur implication dans le diabète de type 1 a été envisagée.
Sur la base de ces découvertes, des chercheurs de l'université de Saint-Louis et du Scripps Research Institute ont tenté avec succès de bloquer le processus de destruction des cellules bêta. Pour cela, ils ont utilisé une molécule appelée SR1001, qui cible les récepteurs des lymphocytes Th17 (Article paru dans la revue Endocrinology).
Les scientifiques ont donné le SR1001 à des souris diabétiques spécialement  utilisée pour l'étude du diabète de type 1. Ils ont réussi à bloquer les récepteurs et réduit significativement le diabète chez les souris ainsi traitées. Le SR1001 a supprimé la production d'anticorps, et permis le maintien de la production d'insuline, y compris en commençant le traitement après le début de la maladie.
Ces recherches suggèrent donc que les cellules Th17 jouent un rôle important dans le développement de la maladie. Cibler ces cellules permettrait de trouver des thérapies qui pourraient ralentir la progression du diabète de type 1, voire éviter une insulinothérapie.
Nous ne sommes pas directement concernés par ces recherches, puisque nos enfants auront déjà perdu toutes les cellules beta lorsque les recherches aboutiront. Cependant, il est possible que ces recherches, en complément d'autres recherches sur les cellules souches et les techniques de greffes de cellules beta, puissent aboutir, à terme, à des traitements de la maladie.


jueves, 19 de enero de 2017

Prédiabète et diabète: 10 symptômes et signaux d’alarme précurseurs

Prédiabète et diabète: les principaux symptômes et facteurs de risque
Le prédiabète est une condition caractérisée par une glycémie supérieure à ce qu'elle devrait être, mais qui n'est pas suffisamment élevée pour parler de diabète. « Le prédiabète est une zone tampon qui précède le diabète, illustre le Dr Stewart Harris, professeur de médecine familiale à la Schulich School of Medicine de l'Université Western Ontario. Votre corps commence à perdre la capacité métabolique de réguler la glycémie après les repas et celle-ci augmente », ajoute l'expert qui se spécialise dans le diabète.
Bien qu'aucune donnée précise ne permette de confirmer le chiffre exact, on estime que près de six millions de Canadiens âgés de plus de 20 ans pourraient souffrir prédiabète, aussi connu sous le nom de diminution à la tolérance au glucose ou anomalie de la glycémie à jeun. Si ces personnes ne prennent pas de mesures pour contrôler leur glycémie maintenant, un diagnostic de diabète dans les prochaines années pourrait être posé.
Malheureusement, le prédiabète ne présente souvent aucun symptôme, de sorte qu'il est parfois très difficile à identifier. Selon les experts et organismes oeuvrant en matière de santé, notamment l'organisme l'Agence de la santé publique du Canada et Diabète Québec, vous pourriez en effet être atteint de prédiabète sans présenter aucun signe ou symptôme manifeste. Toutefois, les facteurs de risque suivants peuvent indiquer si vous êtes davantage à risque de souffrir du prédiabète.

Principaux facteurs de risque du prédiabète

1. Vous risquez davantage de souffrir du prédiabète si vous êtes dans un groupe à haut risque pour le diabète de type 2

Les chercheurs ont identifié certaines personnes plus susceptibles de développer le diabète de type 2. Selon la Clinique Mayo, ces gens sont aussi plus à risque de souffrir de prédiabète. Parmi ces facteurs, on compte notamment l'hérédité et les antécédents familiaux. Si le diabète de type 2 a été diagnostiqué dans votre famille immédiate, votre mère ou votre père, votre frère ou votre sœur, ou votre enfant, alors les risques pour vous sont plus élevés.
Par ailleurs, lorsqu'il s'agit d'antécédent familial, ce que beaucoup de gens ignorent, c'est que votre origine ethnique compte également. Vous êtes plus susceptible de développer le prédiabète ou diabète de type 2 si vous êtes d'origine autochtone, sud-asiatique, asiatique, africaine ou hispanique.Vous ne pouvez pas changer vos gènes, mais vous pouvez modifier le niveau de risque. Puisque le diabète est héréditaire, il est logique d'améliorer la santé de tous les membres de votre famille. Si toute la famille opte pour de meilleurs choix alimentaires et plus d'activité physique, vous serez tous en mesure de mieux prévenir le prédiabète et le diabète.

2. Vous avez un mode de vie sédentaire

Si vous êtes sédentaire ou ne faites pas beaucoup d'exercice, votre risque de souffrir du diabète et du prédiabète est alors plus élevé. Rien qu'en ajoutant l'activité physique à votre vie, vous réduisez deux facteurs de risque du diabète. D'une part, l'exercice abaisse la résistance à l'insuline et d'autre part, l'activité physique va également vous aider à perdre du poids, l'embonpoint étant un facteur de risque supplémentaire que nous verrons un peu plus loin.

3. Vous êtes plus à risque de souffrir du prédiabète si vous êtes âgé de plus de 40 ans

Bien qu'il soit vrai que diabète de type 2 est diagnostiqué chez des personnes de plus en plus jeunes, la maladie demeure plus fréquente chez les plus de 40 ans. «C'est là où l'on retrouve la masse. C'est pourquoi nous recommandons un dépistage de routine pour tous, à partir de 40 ans.», explique le Dr Harris. Le risque de prédiabète et de diabète augmente à mesure que l'on vieillit. En ce sens, tout le monde devrait passer un test pour le diabète après 40 ans. Mais il peut être judicieux de tester encore plus tôt si vous faites partie de l'un, voire de plusieurs des groupes à risque élevé. Votre meilleure arme? Parlez à votre médecindes tests de diabète qui vous conviennent.

4. Vous avez un problème de santé lié au prédiabète

L'état de votre corps peut parfois indiquer une glycémie élevée. Si vous êtes en surpoids, c'est-à-dire si votre indice de masse corporelle est supérieur à 25, vous pourriez souffrir de prédiabète. En outre, l'obésité abdominale (graisse du ventre) est associée à un risque élevé de diabète. Prendre du poids augmente la résistance à l'insuline, ce qui provoque l'hyperglycémie. Vous pourriez aussi souffrir du prédiabète si votre tension artérielle est élevée, si votre cholestérol élevé ou si vous avez une maladie cardiaque.

5. Certaines femmes sont plus à risque

Si les hommes sont plus à risque de souffrir du diabète, certaines femmes sont plus susceptibles d'avoir le diabète et le prédiabète que les autres. Ce groupe comprend les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques, un déséquilibre hormonal féminin qui peut causer des menstruations irrégulières. Les mères qui ont donné naissance à des bébés pensant plus de 4,1 kg ou 9 livres sont également à risque. Les femmes enceintes qui souffrent de diabète gestationnel, un diabète propre à la grossesse, sont sept fois plus susceptibles d'avoir le diabète de type 2 que les autres mamans.
Tout comme les personnes des autres groupes à haut risque, vous améliorez vos chances en observant votre régime et en restant actif. Si vous avez le prédiabète, un médicament pour gérer votre glycémie peut être un avantage. Consultez votre médecin à ce sujet.

6. Vous avez des symptômes de diabète classique

« La vaste majorité des personnes atteintes de prédiabète ne présentent aucun symptôme », rappelle le Dr Harris. Mais dans certains cas, les personnes ayant une glycémie élevée peuvent remarquer une soif accrue, un besoin plus fréquent d'uriner ou de la fatigue inexpliquée. « Dans l'ensemble, le prédiabète a tendance à être très subtil », explique le Dr Harris. Parmi les autres symptômes à surveiller, on compte une faim accrue, une vision floue et une perte de poids inexpliquée.

7. Vous présentez d'étranges nouvelles taches sombres sur la peau

Les personnes atteintes de prédiabète peuvent aussi développer une maladie de peau appelée acanthosis nigricans. Elle se manifeste par des plaques épaisses et sombres sur le corps, là où il y a des replis. L'acanthosis nigricans apparaît souvent dans le cou, sur les aisselles, à l'intérieur des coudes, derrière les genoux et sur les doigts.

8. Vous manquez de sommeil ou n'avez pas un sommeil réparateur

Les gens qui dorment moins de six heures par nuit sont plus susceptibles d'avoir le prédiabète. Les chercheurs croient que c'est le résultat de liens entre les hormones, le système nerveux et les troubles du sommeil. Par ailleurs, selon le Guide canadien sur le diabète, un sommeil de mauvaise qualité peut donner lieu à un gain de poids, à une plus grande résistance à l'insuline et à un fonctionnement réduit pendant la journée.

9. Vous mangez des aliments à haute teneur en gras et très sucrés

Si vous êtes grand amateur d'aliments à haute teneur en gras, d'aliments sucrés et que vous en mangez régulièrement, vous  constituez une victime potentielle du prédiabète et diabète. «Les gens ne pensent pas nécessairement que leur alimentation et les aliments de réconfort et leurs aliments ordinaires les mettent à risque», déclare le Dr Stewart Harris. Mais si vous prenez l'habitude de manger des aliments frits, de boire des sodas, de noyer la salade sous la vinaigrette et de prendre un second morceau de gâteau, vous augmentez vos chances de prendre du poids, ce qui augmente l'insulinorésistance et vos risques de diabète. Vous pouvez aussi développer un taux de cholestérol élevé et de l'hypertension artérielle, des problèmes que présentent les diabétiques et qui sont associés aux maladies cardiaques. Essayez de manger vos aliments préférés en portions plus petites.

10. Autres facteurs de risque associés au prédiabète

Des glycémies anormalement élevées dans le passé constituent également un facteur de risque additionnel du prédiabète et du diabète. Parmi les autres facteurs de risque du prédiabète et du diabète, on compte enfin un haut niveau de triglycérides dans le sang et un faible niveau de bon cholestérol dans le sang.
Gardez toujours à l'esprit que vous pourriez souffrir de prédiabète, même sans aucun de ces signes ou facteurs de risque. La meilleure façon d'en être sûr est de demander à votre médecin à passer un simple test de glycémie à jeun. Si votre niveau de glucose se situe entre 6,1 à 6,9 mol/L, la zone du prédiabète, votre médecin peut suggérer de poursuivre l'investigation avec un test de tolérance au glucose par voie orale.
L'Association canadienne du diabète recommande que toutes les personnes de plus de 40 ans passent le test ou, encore plus tôt, si vous faites partie d'un groupe à risque élevé. Si votre médecin n'en parle pas, abordez le sujet avec lui. « Vous devez être proactif. C'est la meilleure façon pour diagnostiquer le prédiabète », conclut le Dr Harris.

Prédiabète: comment mieux le prévenir et le combattre?

Si vous souffrez du prédiabète, vous pouvez prendre ces mesures pour mieux l'empêcher de se transformer en diabète.

1. Perdez du poids et maintenez un poids santé

Êtes-vous en surpoids? En perdant seulement de 5 à 10 % de votre poids corporel, vous pouvez prévenir ou retarder le diabète. Mais une fois que vous atteignez le poids désiré, vous devrez y rester. Poursuivez vos efforts, consommez moins de calories et brûlez-en plus, accordez-vous des récompenses et rappelez-vous des raisons pour lesquelles vous souhaitez conserver votre poids santé.

2. Faites plus d'exercice

Essayez de faire de l'exercice quelques fois par semaine. Cela ne signifie pas nécessairement que vous devez transpirer au gym tous les jours, et de courtes séances peuvent faire une grande différence. Quelques minutes de vélo stationnaire, de marcherapide ou monter les escaliers chaque jour sauront faire la différence. Pratiquez les activités physiques que vous aimez: vous pourriez redécouvrir les sports que vous avez mis de côté avec les années!

3. Changez vos mauvaises habitudes en famille

Il y a deux raisons pour lesquelles impliquer toute la famille dans un changement de mode de vie est bénéfique: d'abord, il est plus facile de s'en tenir à des aliments plus sains et à l'exercice physique avec un menu commun et si vous vous adonnez à des activités similaires. Deuxièmement, le diabète de type 2 est génétique. «Si vous changez votre mode de vie en famille, le mieux ce sera qui ajoute du même souffle que le diabète se manifeste à un âge de plus en plus jeune et les bonnes habitudes se prennent tôt.»

4. Dormez suffisamment et optimisez votre sommeil

De nouvelles recherches démontrent que les personnes qui dorment généralement moins de six heures par nuit augmentent leur insulinorésistance. Cela signifie que le taux de glucose dans leur corps fatigué n'est pas bien contrôlé. Essayez de dormir au moins 7 à 8 heures. Certaines habitudes, notamment le fait de regarder un écran d'ordinateur et de consommer de l'alcool peuvent aussi nuire à un sommeil de qualité.

5. Surveillez votre tension artérielle et votre taux de cholestérol

Avec le prédiabète, il est plus important que jamais de maintenir une tension artérielle et un taux de cholestérol à des niveaux acceptables. L'hypercholestérolémie et l'hypertension peuvent vous précipiter vers les maladies cardiovasculaires. Votre médecin voudra probablement surveiller votre cholestérol et votre tension et prescrire des médicaments pour les contrôler. Mais des choix de vie comme une alimentation saine et l'exercice vont aider à maintenir ces taux dans une plage normale.

6. Prenez des médicaments pour l'hypoglycémie

Certains médicaments utilisés pour traiter le diabète par l'abaissement de la glycémiepeuvent également aider en cas de prédiabète. «Ils sont très efficaces pour prévenir ou retarder le développement du diabète», explique le Dr Harris. Votre médecin peut vous suggérer un médicament si votre mode de vie n'est pas le seul facteur en cause dans votre glycémie.

7. Faites des lectures de glycémie régulièrement

Maintenant que vous savez que votre taux de glycémie est supérieur à la normale, soyez vigilant. De cette façon, vous pouvez tout de suite vous rendre compte si vos changements sont efficaces. En mettant en pratique l'ensemble de ces mesures, vous allez réduire considérablement votre risque de diabète de type 2. «Une fois qu'on a le diabète, c'est pour la vie. Mais si vous souffrez du prédiabète, il est encore temps de changer la donne », conclut le Dr Harris.

Les aliments pour mieux prévenir le prédiabète et le diabète

Vous pouvez faire également des choix alimentaires qui vous permettront de mieux vous protéger contre la résistance à l'insuline. Votre principal objectif sera de consommer des aliments qui se digèrent lentement et sont riches en fibres, ce qui régulera votre glycémie et, par conséquent, d'insuline. Le second sera de remplacer les gras saturés et trans par des lipides insaturés que fournissent les aliments comme le poisson, les noix et l'huile d'olive, ce qui pourrait avoir pour effet d'accroître la sensibilité de vos cellules à l'insuline.

1. Grains entiers, légumineuses et autres glucides riches en fibre

Des aliments comme les pâtes de blé entier et l'orge se digèrent lentement, ce qui évite les pics glycémiques. Malheureusement, nous en consommons trop peu. Il en va de même pour les légumineuses, par exemple le pois chiche, le soya et la lentille. Les données recueillies auprès des quelque 3 000 sujets de la Framingham Offspring Study indiquent que les sujets qui consommaient le plus de grains entiers, et donc de fibres, étaient nettement moins susceptibles de faire de l'insulinorésistance que ceux qui en prenaient le moins.

2. Olive et son huile, noix, avocat

Riches en lipides mono-insaturés, ces aliments sont bons pour la santé, à condition de les consommer avec modération. Non seulement ces gras n'élèvent-ils par le taux de sucre sanguin, mais ils le stabilisent. Contrairement aux gras saturés, qui augmentent le risque d'insulinorésistance, les lipides insaturés améliorent l'insulinosensibilité. Dans le cadre d'une étude scientifique, des chercheurs finlandais ont fait suivre un régime riche en gras saturés à 31 sujets qui faisaient de l'hyperglycémie, pour les soumettre ensuite à un régime mettant l'accent sur les gras mono-insaturés ou polyinsaturés. Au terme de l'étude, le taux de glycémie et l'insulino sensibilité des sujets se sont alors nettement améliorés.

3. Épinard, légumineuses, poisson et autres aliments riches en magnésium

Les études indiquent qu'une carence en magnésium va de pair avec l'insulinorésistance. Le risque de diabète 2 est beaucoup plus faible chez les personnes qui consomment beaucoup d'aliments riches en ce minéral, notamment des légumineuses et des légumes feuilles. Truc utile: comme la cuisson entraîne une déperdition du magnésium, consommez vos légumes crus aussi souvent que possible.

4. Chocolat noir, thé vert et autres aliments riches en flavonoïdes

Si vous aimez le chocolat noir, vous serez heureux d'apprendre que ce produit est bon pour la santé. Au cours de deux études menées récemment, des chercheurs italiens ont observé que, chez les sujets qui prenaient 100 g de chocolat noir par jour, le taux d'insulinorésistance a baissé sensiblement, en comparaison de ceux qui prenaient du chocolat blanc. Les chercheurs pensent que cet effet protecteur est attribuable auxflavonoïdes que renferme le cacao et qui sont à la fois antioxydants et anti-inflammatoires. Le chocolat noir est également riche en chrome, minéral qui contribue à accroître l'insulinosensibilité. Le thé vert, le vin, le bleuet, la pomme avec sa peau, l'oignon, le chou, le chou de Bruxelles, l'épinard et l'asperge sont également riches en flavonoïdes.

Les aliments à éviter pour mieux prévenir le prédiabète et le diabète

Lorsque l'on consomme trop souvent et en trop grandes quantités frites, scones, céréales sucrées et autres aliments qui font grimper la glycémie, l'organisme produit de l'insuline dans le but d'extraire le glucose du sang pour en nourrir les cellules. À la longue, l'afflux d'insuline en épuise les récepteurs, qui sont alors moins performants. En conséquence, l'insuline y perd en efficacité: il en faut de plus en plus pour donner les mêmes résultats. C'est ce qu'on appelle l'insulinorésistance.
Un trop-plein d'insuline élève la pression artérielle et le taux de cholestérol, et peut même favoriser l'apparition de certains cancers. Il mène aussi au gain de poids et, à long terme, à l'hyperglycémie, trouble qui, en soi, comporte ses propres risques. Il est possible de déceler une insulinorésistance faible et modérée au moyen d'une analyse de sang. À un stade plus avancé, elle peut laisser des marques foncées sur la peau du cou, des coudes, des genoux ou sur les jointures. Voici les aliments à éviter afin de ne pas faire grimper la glycémie.

1. Aliments à éviter : sucres et grains raffinés

Comme les produits faits de farine blanche, les aliments sucrés, la majorité des céréales de riz de même que les autres aliments « blancs » sont dénués de fibres, ils sont rapidement digérés et, de ce fait, élèvent le taux de sucre sanguin et la production d'insuline. Comme ils sont par ailleurs pauvres en nutriments et qu'ils sont caloriques, ils favorisent le gain de poids ce qui, en retour, augmente le risque d'insulinorésistance. Remplacez ces aliments par du pain et des céréales de grain entier, et le jus par des fruits frais. À la place des boissons gazeuses, prenez du soda nature garni d'une tranche de citron vert. Et méfiez-vous des casse-croûte emballés.

2. Aliments à éviter: viande grasse, produits laitiers entiers et aliments qui renferment des gras trans

Les gras trans présents dans de nombreux produits transformés, de même que les lipides saturés de la viande et du fromage accroissent le risque de diabète et de cardiopathie, lequel est déjà élevé chez ceux qui font de l'insulinorésistance. De plus, ils pourraient contribuer directement à cette affection et prévenir la production par l'organisme de quantités adéquates d'insuline. Les lipides saturés sont stockés dans les cellules sous forme de triglycérides, gras nuisibles s'il en est. Quand ils s'accumulent dans les cellules productrices d'insuline, ils peuvent, en fait, les détruire. En outre, des chercheurs suédois ont fait la preuve qu'on pouvait améliorer l'insulinosensibilité en remplaçant les lipides saturés par de l'huile d'olive ou d'autres matières grasses semblables, à la condition toutefois que les calories qu'elles fournissent ne représentent pas plus de 37 % de l'apport calorique total quotidien.

3. Aliments à éviter: malbouffe

Lors d'une étude d'une durée de 15 ans menée à l'université du Minnesota auprès de 3 000 jeunes adultes, les chercheurs ont découvert que ceux qui consommaient de la malbouffeplus de deux fois par semaine avaient pris en moyenne 4,5 kilos et que leur insulinorésistance avait augmenté de 104 %. Les produits de restauration rapide sont habituellement riches en huiles hydrogénées, féculents raffinés ou sucre. En outre, les portions sont démesurées. Par conséquent, mettez la pédale douce sur ces aliments que les experts qualifient, à juste titre, de vides.

Comment savoir si vous souffrez du diabète?

Ces symptômes pourraient vous aider à déterminer si vous êtes diabétique. Cela dit, vous devez consulter votre médecin et passer un examen médical. Dans ses premiers stades, alors qu'on peut le prendre en charge plus facilement, le diabète est souvent sournois et présente peu de symptômes, mais cause tout de même des dommages à l'organisme. Cependant, si vous prêtez attention aux signes subtils, vous pourrez intervenir avant que la maladie ne soit trop grave.

Principaux symptômes du diabète

Bien que dans les débuts les symptômes du diabète soient plutôt subtils, on peut tout de même en déceler certains. Ils deviennent plus évidents à mesure que la maladie progresse. Voici certains des symptômes que vous devriez surveiller de plus près:

Une analyse sanguine prescrite par votre médecin pour dépister le diabète

Vous devez toutefois consulter un médecin qui fera une évaluation complète de votre état. Les dépistages sanguins à l'aide d'appareils ne sont pas aussi précis que les tests qui sont commandés par le médecin. Si vos résultats sont négatifs mais que vous avez des antécédents familiaux, discutez-en avec votre médecin. Suivant ses conseils, il pourrait vous suggérer de le consulter plus régulièrement afin de suivre de plus près l'évolution de votre condition et de votre état de santé.



Source:   selection.readersdigest.ca



martes, 17 de enero de 2017

La consommation de miel et le diabète

Il faut d'abord préciser à Ibrahim que la survenue du diabète de type 2 est influencée par de multiples facteurs. Certains sont dits environnementaux, c'est-à-dire les facteurs liés aux modes de vie et d'autres issus de prédispositions génétiques. On retient quatre facteurs de risque principaux dans le diabète de type 2 facteurs :
- Une alimentation déséquilibrée
- Un manque d'activité physique
- La présence d'un surpoids ou d'une obésité
- La présence d'antécédents familiaux.
Dans le cas d'Ibrahim, qui visiblement mange beaucoup de miel, le risque auquel il s'expose est une trop grande consommation de sucres simples. Mais seul, ce risque a peu de chance de favoriser la survenue d'un diabète. En revanche, si cette consommation trop importante de miel est couplée à un ou plusieurs autres facteurs, le risque s'accroit inévitablement. Ce sera le cas si par exemple, en parallèle, Ibrahim mange trop gras ou s'il ne fait pas assez d'activité physique. Pour éviter tout risque de diabète, je conseillerai donc à Ibrahim de consommer moins de miel et plus largement de rééquilibrer son alimentation tout en augmentant son activité physique.
Claire Hédon  On nous questionne aussi souvent sur les vertus du miel si l'on est diabétique. Peut-on réellement consommer un aliment sucré lorsque l'on est diabétique ?
Stéphane Besançon  Il existe 2 grands types de sucres (que l'on appelle les glucides en nutrition). La première famille de glucides sont les sucres simples (appelés saccharose) que l'on retrouve dans le sucre blanc. C'est le sucre que l'on retrouve dans le miel mais aussi celui qui sert à fabriquer des bonbons ou que l'on ajoute à son café. La deuxième famille est composée des sucres complexes (appelés amidon) que l'on retrouve dans le pain, les céréales (fonio, sorgho, mil, riz…), le manioc, la pomme de terre ou l'igname.
Même si l'on est diabétique, il est donc quasiment impossible de ne jamais manger de sucre. Il faut toutefois savoir choisir les sucres en privilégiant les sucres complexes qui jouent un rôle central pour notre corps en étant la principale source d'énergie de notre organisme.
Il est recommandé aux patients diabétiques de consommer 250 à 500 g de glucides complexes par jour issus de céréales comme le mil, le fonio, le riz ou des racines comme le manioc ou encore des tubercules comme l'igname.
Claire Hédon : Qu'en est- il de la consommation de sucres simples et donc du miel ?
Nos auditeurs, qui sont atteints de diabète, doivent réduire au maximum la consommation d'aliments riches en sucres simples comme le sucre blanc, les confiseries ou encore le miel. La recommandation actuelle aujourd'hui est d'en consommer au maximum 50g par jour (ce qui représente approximative 10 petites cuillères ou 3,5 cuillères à soupe). C'est une recommandation importante dans la mesure où ces aliments ont la propriété de faire monter très rapidement la glycémie.
Cependant, lorsque l'on doit choisir les 50g de sucres simples à consommer, mieux vaut consommer du miel que du sucre de table ou des confiseries sucrées. En effet, le miel :
- Contrairement au sucre blanc, contient du glucose mais aussi du fructose qui va lui procurer un index glycémique plus faible que celui du sucre blanc ;
- Contrairement aux confiseries sucrées, le miel ne contient pas de graisses ce qui est très important en cas de diabète.
En conclusion, il faut mieux remplacer les sucres simples industrialisés par du miel mais en respectant les consignes sur les consommations maximum de sucres simples.
Source:  rfi.fr

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jueves, 12 de enero de 2017

Le diabète peut produire des dégâts irréversibles sur la vue


 

 Le phénomène de cause-conséquence est méconnu mais souffrir de diabète peut entraîner une cécité. Les ophtalmologues invitent à se faire dépister dès 40 ans.
Le diabète touche 2,5 millions de personnes en France et le chiffre pourrait doubler d'ici quelques années. Ce qui est moins connu, c'est que cette maladie est la principale cause de cécité pour les moins de 50 ans. La société française d'ophtalmologie alerte sur la nécessité de dépister le plus tôt possible un éventuel diabète pour éviter des dégâts irréversibles pour la vue.
La moitié des patients ne connaît pas le risque. La recommandation des spécialistes est simple : faire faire une prise de sang à partir de 40 ans, même sans symptôme, pour vérifier son taux de sucre dans le sang. Si diabète il y a, les yeux doivent devenir une priorité parce que les conséquences peuvent aller très vite. Trop de sucre abîme la paroi des vaisseaux sanguins, surtout les plus petits, comme ceux de la rétine, essentiels pour la vision. Le problème est que ces complications sont encore méconnues. Un patient sur deux ignore que sa maladie peut le rendre aveugle.
Un patient sur 5 a déjà des lésions au moment du diagnostic. "Chaque patient qui se sait diabétique doit avoir un examen du fond d’œil au moment du diagnostic, ajoute Marie-Noëlle Delyfer, ophtalmologiste au CHU de Bordeaux. Malheureusement, un patient sur cinq au moment du diagnostic a déjà des lésions rétiniennes de diabète". La spécialiste donne l'exemple d'une patiente de 25 ans qui n'avait jamais vu d'ophtalmo et qui était diabétique depuis l'âge de 9 ans et qui présentait une quasi cécité sur un œil "avec une chirurgie nécessaire et un pronostic incertain".
Le dépistage rapide est d'autant plus important qu'il existe des solutions à mettre en place tout de suite : certaines injections ou le laser permettent parfois d’inverser complètement l'évolution des lésions et donc d'éviter de perdre la vue.


Source: europe1.fr

martes, 10 de enero de 2017

Diabète de type 3, ou «diabète de cerveau», pourraient être responsables de la maladie d'Alzheimer et le glaucome

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZzUjZVa4Fxk7cYEYyeULZTZoJo_-Qe0xSjH-sE8BhzR9Mdrs1Fb5Ut8kJ-hONaGtVrYQulMgnjFX9NVq0oQUWrJ46c6tPazo9NLjUcxXOjApWr0_auosNx2eKtTldPKORDXAEL55zaTHd/s1600/pastedImage-716908.pngUn nombre croissant de recherche suggère qu'il existe un lien étroit entre l'alimentation et le risque de la maladie et le glaucome, 10 d'Alzheimer par des voies similaires qui causent le diabète 2 de la maladie d'Alzheimer a été provisoirement appelé «diabète de type de type 3 
"au début de 2005, lorsque les chercheurs ont découvert que le pancréas est pas le seul organe qui produit l'insuline. Son cerveau produit également de l'insuline, ce cerveau insuline est nécessaire pour la survie des cellules cérébrales.Une baisse de la production d'insuline dans le cerveau peut contribuer à la dégénérescence des cellules du cerveau, et des études ont montré que les personnes ayant des niveaux inférieurs de l'insuline et des récepteurs dans le cerveau ont souvent la maladie d'Alzheimer. Maintenant, les chercheurs ont découvert que l'insuline a plus de fonctions que régulent simplement sucre dans le sang. Votre cerveau a besoin de glucose, et fonctionne réellement de meilleurs carburants combustion alternatifs, en particulier les cétones. En fait, M. Rosedale croit la combustion constante de glucose par le cerveau est le principal coupable dans la maladie d'Alzheimer et d'autres troubles du cerveau.insilina-6L'insuline est en fait «multifonctionnelle» qui aide à l'absorption du glucose dans les neurones, et la régulation des neurotransmetteurs, comme l'acétylcholine, qui sont cruciaux pour la mémoire et l'apprentissage. Pour cette raison, est de diminuer votre niveau d'insuline dans votre cerveau affecte leur cognition. Un autre investigación11 montre que les diabétiques de type 2 perdent plus de volume du cerveau attendu à mesure qu'ils vieillissent, surtout gris substance. Ce type d'atrophie cérébrale est un autre facteur contribuant à la démence. Selon la recherche "diabète du cerveau" récent peut être également responsable du glaucome. Tel que rapporté par Nouvelles médicales Aujourd'hui 12"Les chercheurs [en Inde] ... ils ont proposé un nouveau glaucome mécanisme suggérant que le diabète peut se produire dans le cerveau et peut être la cause de nombreuses maladies neurodégénératives, y compris le glaucome ... un trouble irréversible de la cécité qui touche près de 65 millions de personnes à travers le monde. Il n'y a pas de remède ...Le récent document intitulé «Glaucome: diabète cerveau - une hypothèse radicale quant à sa nature et à la pathogenèse», publié dans Medical Hypotheses ... explore le glaucome et les maladies neurodégénératives liées à de nombreux points de vue et a conclu avec un concept multiforme et interne cohérente que le glaucome est «le diabète du cerveau."Il est de plus en plus clair que le même processus de maladie qui provoque une résistance à l'insuline et le diabète de type 2 peut également être la même pour le cerveau. Comme vous augmentez votre consommation d'aliments sucrés et les grains, votre cerveau est submergé par les niveaux toujours élevés de glucose et de l'insuline qui affecte la signalisation de l'insuline, ce qui conduit à des changements dans leur réflexion et dans leurs compétences de mémoire , éventuellement causer des dommages permanents au cerveau.En outre, lorsque le foie est le fructose de traitement occupé (que votre foie transforme la graisse), entrave gravement leur capacité à faire du cholestérol, élément essentiel dans le cerveau qui est crucial pour un fonctionnement optimal du cerveau. En fait, la preuve croissante soutient l'idée que réduire de manière significative la consommation de fructose est une étape très importante que vous pouvez prendre pour prévenir la maladie d'Alzheimer:
Source: reconquistandoeden.com.ar